3) 1884, je suis arrivée ici en 1884, et le temps ne semble plus signifier grand chose. Ici, plus rien n'a de cours. J'ai entendu tellement de misères a travers les épais murs de cet hospice. Mes doigts acharnés a dénouer ces épais liens, ont finis de me faire atrocement souffrir. Sortirais-je un jour ?