Mon 1er essai d'écriture

Introduction



En l'an 2000 en Irlande à Dublin dans un petit pub crasseux, un vieil homme racontait sa jeunesse pendant la révolution irlandaise et nous arrivons juste à temps pour entendre le début de son histoire:

"-En 1915 dans un petite ferme isolé mes amis et moi tenions une réunion [...]"



Chapitre 1: faisons les présentations



Nous nous étions réunis pour débattre de la meilleur façon de tenir tête aux anglais qui terrorisaient tout le pays, il y avait là:

- Chris O'Sullivan, mon frère, il avait 25 ans. Il était assez grand et il disposait d'un corps plutôt musculeux qui était criblé de cicatrices dû à ses combat contre les anglais. Il avait de longs cheveux noirs qui lui tombaient sur les omoplates, il avait des yeux verts sombres comme moi. Il avait un esprit tactique très développé et il lui arrivait malgré tout de sortir quelques vers plutôt réussis.

- Micheail Reilly, à l'époque il avait 25 ans, il était de petite taille, il avait des yeux couleurs noisette et des cheveux noirs coupés très court. Il était un médecin accompli et c'est la veille de son départ pour Liverpool, pour exercer son métier dans une grande ville, que son neveu fut assassiné sauvagement par les anglais ce qui fit qu'il resta avec nous pour se battre.

- Mitchell O'Donovan : il avait 17 ans, nous avions eut énormément de mal à l'accepter parmi nous à cause de son jeune âge. Il avait des cheveux roux tirés en une queue de cheval qui lui tombait dans le bas du dos. Il n'avait pas beaucoup de muscles mais il était agile et rapide et ses doigts fins et rapides ont eux aussi démontrés leur utilité. Il avait la langue bien pendue, avec toujours une bonne répartie de prête,

- Sinead Reilly était la soeur de Micheail elle avait 23 ans et était très belle avec ses pulpeuse lèvres rouge sang, sa peau couleur porcelaine, ses cheveux d'un noir luisant tout le temps détachés et ses yeux en amande bleus nuits. Elle était aussi très intelligente et imaginative et possédait un charisme indéniable.

Quant à moi je me nomme Coogan et j'étais le portait craché de Chris avec deux ans de moins. J'étais moins grand et moins musclé que Chris mais j'étais de loin le plus débrouillard. Contrairement à Chris qui était d'un caractère calme et réfléchi j'étais impulsif et fougueux, toujours prêt pour la castagne que ce soit

dans un pubs ou sur un champ de bataille.





Chapitre 2:



Nous étions donc dans une ferme à quelque kilomètres de la chaussé des géants et nous débattions de la meilleure façon d'organiser la révolte : j'étais pour une attaque de front avec tous les irlandais du pays et toute les armes que nous possédions. Mitchell était d'accord avec moi alors Micheail, Chris et Sinead étaient pour une progression par étape en commençant par récupérer des armes et des hommes. C'est ce que nous fîmes. On m'avait envoyé moi et Sinead essayer de convaincre des gens des villages avoisinant de nous rejoindre. Tandis que Mitchell, Micheail et Chris étaient chargés de récupérer des adresses ennemies et des plans de QG anglais. Trois semaines plus tard nous disposions de 270 hommes dont 150 étaient armés de fusils de mauvaise facture. Chris avait tout de même réussi à nous procurer un fusil à chacun et le lendemain nous étions sur la route pour l'entrepôt d'armes ennemi le plus proche. Avec comme bruit de fond le vrombissement du camion j'entamais la discussion :

"- Hé Chris ! tu sais ce qui se raconte en ce moment dans nos rangs ?"

"-Non vas y raconte" répondit-il

Sinead, Mitchell et Micheail avaient les oreilles grandes ouvertes toutes prêtes à récupérer la moindre goutte des ragots du moment.

"-On raconte que Churchill aurait passer un pacte avec le diable comme quoi il devrait avoir sous contrôle la chaussée dans géants dans un temps imparti en échange de quoi le diable lui prêterait de ses troupes démoniaques pour y parvenir." Bien sûr je n'en croyais pas un mot moi même mais je changeais d'avis une heure plus tard à peine. Nous arrivions de nuit devant le bâtiment qui semblait être un peu trop imposant pour être un simple entrepôt d'armes. Il ressemblait plus à une prison qu'un entrepôt avec ses grands murs avec du barbelé au dessus et ses espèces de tours qui contrôlaient tout ce qui se passait a l'intérieur. Les murs quant à eux étaient couverts de lierre qui semblait pousser à vue d'oeuil de telle façon qu'ils ressemblaient à de grandes paroies végétales. Plus effrayant encore: on entendait des bruits plutôt étranges des gens qui travaillaient là bas mais aussi des cris et des rires mauvais qui retentissaient dans tout le bâtiment. Nous étions accompagnés de cinquante hommes raisonnables qui avaient fui à l'écoute de ces rires en laissant tomber leurs armes que nous récupérions. Au moment où nous arrivions devant l'immeuble. Devant l'imposante porte d'entrée en chêne massif, des runes celtiques semblaient avoir étaient tracées. Ignorant tous ces signes qui semblaient avoir été disposés pour nous faire fuir, et malgré notre angoisse, nous ouvrîmes la porte d'entrée qui n'était même pas fermée à clef.

Nous entrâmes alors dans le bâtiment où ces rires continuaient de résonner dans les couloirs et dans nos têtes. Nous avancions dans le noir complet, ayant trop peur d'attirer les habitants de cet endroit. Même Mitchell avait trop peur pour sortir une blague ou un quelconque commentaire.



Chapitre 3: premier contact



Une fois arrivés devant la première salle nous prîmes notre courage à deux mains ainsi que nos fusils. Chris ouvrit la porte d'un coup de pied pendant que l'on se déployés en éventail dans une salle apparament vide. Il n'y avait aucun bruit, même les rires s'étaient arrétés, seuls notre respiration hâletante troublait ce silence plus qu'inquiétant et sûrement pas naturel.

C'est alors qu'un craquement retenti et un soldat anglais de moindre grade sorti de dérrière un bureau avec un sourire jusqu'aux oreilles, des yeux jaunes empreints de malveillance laissaient paraître une jubilation sans pareille.Il tenait son pistolet allemand de la main gauche et murmuré ce qui semblait être un chant dans une langue qui nous était inconnue. Tout à coup un autre craquement retenti et deux autres soldats identiques au premier apparûrent. Nous sortions de la salle pour commencés à fuir quand nous remarquâmes que d'autres de ces créatures avaient apparu dans le couloir et nous empêchaient de fuir vers la sortie. Nous étions encerclés, nous étions cinq, ils étaient cinquante. Sous les ordres de Chris nous nous sommes mis à tirer droit devant tout en courrant vers la sortie; affolé Mitchell s'écria « –Regardez ! » En pointant une ombre quelconque du couloir.

"- C'est rien !" répliqua Chris.

"-Mais regarde ! Je lui ai tiré dans la tête et il continue à rire."

"-Mais non." Nous répondis Chris, « c'est rien qu'une ombre ». Une fois à la sortie,

Mitchell reparti dans ce qui semblait bien être un délire :

"-C'est vrai ton histoire Coogan !" S'écria-t-il en me pointant d'un doigt accusateur.

Churchill a pactisé avec les forces du mal pour gagner la guerre.

"-Mais non." Répliquai-je.

"-Le whiskey, c'est pas de son âge". Ajouta Micheail en rigolant.

"-C'était des korrigans qui parlaient l'ancien langage celte ! " affirma Mitchell

"-T'as quand même pas fumé les trèfles à quatre feuilles du champ du vieux

O'Brian ?" Questionna Sinead.

"-Mais non ! C'est vrai, ce sont des créatures du mal j'vous dis !"



Le mois suivant nous nous bornâmes à récolter des informations pour laisser passer le choc.



Chapitre 4: deuxième essai et abandon



Nous avions retrouvé les autres qui avaient fui cette fameuse nuit et les avions suspendus tout le mois de janvier. A la fin du mois en question, le choc était passé, sauf pour Mitchell qui croyait encore à son histoire de korrigans. Mais nous avions maintenant suffisamment d'informations pour prendre l'ennemi par surprise. Ce que nous fîmes. Nous préparions une embuscade dans les vertes collines Irlandaises. Les camions anglais arrivèrent conduits et escortés par les mêmes que nous avions vu cette fameuse nuit. A leur vue Mitchell s'enfui en courant alors que tous nos hommes leurs tiraient dessus de toutes leurs forces. En vain. Lors de cette embuscade Chris perdu la vie en combattant jusqu'à la fin alors que tous nos hommes décédèrent aussi, mais en fuiant l'adversaire. Sinead, Micheail et moi réussîmes à nous échapper de peu et à nous cacher à coté de Dublin en attendant la défaite mais en essayant tout de même d'aider la révolution du mieux que nous pouvions même si tout espoir nous avez quitté. Effectivement nous fûmes écrasés par Churchill soutenu par les forces du mal. A la fin de la guerre je laissais l'IRA au jeunes fougueux ne tenant pas à la vie et qui croyaient avoir une chance de l'emporter. Je me mariais avec Sinaed et fondis une famille avec elle dans une ferme isolée à quelques kilomètres de Dublin. Et j'avais perdu tout contact avec Micheail qui était devenu un medecin de renom à Londres. Même si je garde de la rancœur envers Churchill je me dois de reconnaître que c'est un fin manipulateur car il a réussi à prolonger son pacte avec le démon pour vaincre les nazis durant la seconde guerre mondiale.



Epilogue



A la fin de mon histoire tout le monde était de retour à Dublin en 2000 et un jeune journaliste m'approchait pour m'interviewer:

« -Monsieur O'Sullivan auriez-vous quelques minutes à m'accorder pour répondre à mes questions ? » me demanda-t-il

« -Excusez moi jeune homme mais j'ai encore 103 pubs à visiter avant la fin de la nuit » lui répondis-je

Et je sortis du pub cherchant le chemin pour le suivant car, oui, il me semblait important que tout les jeunes d'aujourd 'hui puissent savoir comment la révolution c'est réellement déroulée.


Et il me semblait aussi important de goûter toutes les bières de Dublin.

Et oui je me suis renseigné avant d'écrire ça !

Pas mal au niveau du style, et c'est en effet bien documenté (ceci dit,le double post est encore et toujours interdit très cher! ), et au niveau de l'histoire en particulier, j'avoue ne pas bien saisir quelle est la trame de ton récit, quelle évolution y a-t-il entre chaque chapitres, et ce qui en découle. En gros, quel est ton thème, et quelle finalité veux-tu lui donner? Je trouve en outre tes paragraphes succins, mais là j'aurais aimé savoir s'il s'agit là d'extraits ou non?
Sinon dans l'ensemble je trouve que c'est un bon premier essai, et il mérite d'être plus approfondis!

je n'aime pas le style du tout. au niveau de l'écriture ça se rapproche davantage du scénario descriptif plutôt que l'écriture roman.
l'idée est intéressante, en fait. Mais c'est brouillon au niveau de l'histoire comme le précise Kea, on voit pas ou ça pèche. oo

En même temps, c'est un premier essai, je trouve ça pas mal pour un début...

Pis y a l'age aussi. c'est t-y pas merveilleux a son age ?

Je saurais pas en juger, a son âge j'écrivais que des niaiseries...

Je parle du style un peu maladroit qui manque de maturité, mais les idées sont la.

Je sais! Et je le pense aussi, puisqu'il écrit comme moi j'écrivais a 15, 16 ans (pour les idées j'entend) , ce qui est pas mal, mais d'un autre côté, je sais pas trop quel est le niveau d'écriture "normal" d'un ado de 12ans... Bref, mon développement est certes un peu brumeux...

bon bah comme vous dites c'est un 1er essai et forcément c'est pas parfait mais j'y travaille et désolé pour le double post ^^


et j'ai oublié de préciser que c'était une rédac' de français donc que j'avais quelques contraintes qui m'ont empêchées de faire ce que je voulais.