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 Chronique

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MessageSujet: Chronique   Chronique Icon_minitimeLun 17 Jan 2011 - 13:09

Je suis un monstre.

Ici gît mon oeuvre, du moins, une partie. Je vais mettre ici bas mes textes et mes dessins. Ca risque de faire un gros pâté, mais bon, vous allez avoir l'habitude.



Rêve de Naphtalène...

Je fais toujours ce même rêve. Je suis allongé sur le dos de ce cachalot blanc, comme de la nacre. La mer est rouge et à perte de vue. Le ciel est souffre, nuageux et carnassier. Des mouvements perpétuelles de nuages ce dévorent les uns les autres. Des cris, des gouttes de sang qui tombent dans l'eau, pour colorer à l'image de ce violent spectacle, l'étendue triste qui me berce.

Il ne ce passe pas grand-chose, mais le sentiment qui se dégage de cette scène, est émotionnellement sensationnelle. Au bout d'un long moment, le cachalot agacé, ce met a avancé vers un petit îlot, ressemblant à une pomme de pin. Il s'arrête a proximité, me fait signe de descendre, je m'exécute et il disparait. Les nuages s'immobilise instantanément, se tourne vers moi, et ce mettent alors à me regarder avec précision. Devant cette assemblée fantastique, que feriez-vous à ma place ? Moi, je chante une chanson. Un texte sans parole, mais rempli de bons sens. Ovation total, bruit retentissant, réveille endolorie.

Tous les jours, cette vieille rengaine. Ce cachalot, ces nuages, ce sang, ce souffre. L'île des Pin, la chanson invisible pour un rêve résonnant qui tant m'anime comme un doux parfum, de naphtalène.


__________

Le son de l'inéluctabilité.

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Ce n'est pas une sensation, c'est un peu différent, pas un état d'esprit non plus, mais ça y ressemble, une façon de penser dans un sens. L'inutilité me rend fou, voir l'inutilité vous rendrais presque inutile. Voir toutes toute ces pauvres personnes sans intérêt, qui vive pour une idée fixe, qui plus est complètement dérisoire m'inspire qu'une sensation d'inutilité à mon égard, une pitié presque .

Comment peut on gâcher sa vie pour ce genre de futilité. Mais, je pleins ces gens dans le fond, s'ils sont comme ça. Leurs vies est peut-être si triste, si monotone, sans vie qu'ils ne peuvent et voient que ça, cette obstination néfaste, sans qu'ils ne s'en rendent compte. J'admire quand même ces personnes-là, parce que je ne sais pas comment ils font pour rester debout, pour continuer de vivre.

Malgré cette vie, de merde en soit, peut être qu'eux, voient le bout du tunnel, ils voient d'autre chose la dedan, une façon d'oublier le quotidien, une manière de focalisé les penser positive dans un but précis, de s'oublier eux-même dans ces illusions. Mais moi, je n'y crois pas beaucoup. Je crois, qu'ils courent vers leur chute, vers un cul de sac, et ça, c'est inévitable ...

Ma vision sur le monde évolue de jours en jours, j'observe comme un virus, j'analyse les fait est geste de ces fourmis pour m'adapter est gangrené le système. Je ne suis pas non plus une maladie contagieuse, j'évolue dans ce zoo, en me goinfrant des pathétique espoirs de survie de certaines espèces primitives, l'Humain en fait partie naturellement .

Ces gens-là, d'on je parle dans les paragraphes précédent, ne sont pas juste, inutile, car l'inutilité ce suffirai à elle-même, ils se sentent normal, comme 'naturel', alors que même un vulgaire hippocampe peut avoir plus de rebondissement dans sa vie aquatique qu'un pauvre Homme sans histoire à part entière. L'inutilité est une affaire de perspective, mais il y a des limites au ridiculisme.

Vivement la prochaine réinitialisation du système, qu'on recommence comme avant, je n'en peut vraiment plus, je souffre le martyrs a côtoyé tous ces virus, j'en viens a me demandé si je ne vais pas finir par en devenir un moi-même. Mais je reste sur de moi, je dois faire la mission qui m'a était donné, je sais pertinemment ce que je doit faire, et ne peut y renoncer.


C'est tout, pour le moment... A bientôt!
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MessageSujet: Un jour, une vie, un gâchis.    Chronique Icon_minitimeMar 18 Jan 2011 - 12:41

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"Il y a des jours où rien ne va, et aujourd'hui s'en est un. Jour dramatique qu'est le vendredi 13 : mon chat est mort, mon chien est mort, mon père a un cancer, et ma mère boit. Vraiment, tout va mal et j'ai envie de faire pipi, je me retiens depuis une heure... Je vais demander au prof... Non je ne peux pas, tout le monde va se moquer de moi... Déjà que je suis moche... Ah ! J'ai la sueur qui me coule le long des bras. Vraiment ça ne va pas bien, j'ai mal à la tête... Oh ! Je sens que je vais vomir... Non ça passe..."



La journée d'un dépressif commence comme ça. Quelle vie dramatique ! Il commence sa carrière dès dix ans : Son canari est mort et il chiale dès qu'on lui dit « Pioupiou ». C'est un drame, un désastre, une catastrophe... Son petit copain, ou sa petite copine, l'a laissé tombé, il a quatorze ans, il pleure sur son lit, la photo de son oiseau dans la poche. Il ne pense qu'à se suicider et même à suicider les autres... Alors, il rêve : Il est milliardaire, à New York, roule en BMW et tous les tops models de la Terre lui courent après... Un jour, à la campagne, il fait l'amour dans les bois, puis part se promener... Mais il tombe du haut d'une falaise, poussé par son ex : « Toutes des salopes ! » et il recommence à pleurer.

Après l'adolescence, tout se corse : Sa dernière copine l'a lâché au beau milieu d'une avenue, après avoir pris son argent. Il se jette sous un poids lourd mais il se rate. Même si l'on croit qu'il n'y a qu'une seule sorte de dépressifs, c'est faux, il y en a trois : L'hypocondriaque, le couillon, et le suicidaire.


- Le suicidaire rêve de mourir foudroyé en pleine gloire et aimé de tout le monde : Ils pleurent donc tous.

- Le couillon est si stupide qu'il ne se rend pas compte que le problème, ce ne sont pas les autres, mais c'est lui ! Il est laid, pervers, stupide, maladroit et inutile.

- L'hypocondriaque se demande s'il ne devrait pas se faire sauter le caisson avant d'être rongé d'un cancer du cerveau que personne n'a vu, mais il a trop peur de se rater. Tous ses problèmes viennent de ses hémorroïdes, et il se jette au lit dès qu'il a 37°5. Ne cherchez jamais à le reconnaître car il est collant au maximum. Il vous saoul à longueur de temps avec ses rhumatismes et son oeil de verre qui tombe dans la soupe s'il se baisse pour ramasser son dentier. Son chien pisse partout et aboie tout le temps ; il pète comme un teigneux qui joue du clairon...



Enfin bref, je pourrais parler de tout ces gens, mais, au finale, peut être que cela ne vous interesserez pas. Je préfére me taire. Voilà, c'est fait.
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MessageSujet: Il devrait être une fois...   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 11:11


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Les contes de fée, ça n’existe pas.

Les histoires vraies, ça existe.

Il devrait être une fois un monde où chacun aurait sa chance, un monde où la valeur se mesurerait à l’aune des compétences et des qualités.

C’est souvent le cas, me direz-vous. Certes. Mais là où le bas blesse, c’est qu’il existe deux visions, deux définitions possibles quant à l’appréciation de ces compétences et de ces qualités. Faut-il impérativement entrer dans des cases, comme à Pôle emploi, pour se les voir reconnaitre ? Faut-il devenir lisse et docile pour « mériter » la confiance comme un bon toutou qui fait le beau mérite son su-sucre ? Ce que je dis, ce que je pense, moi qui ne suis rien d’autre qu’un observateur parmi d’autres, n’a que peu d’importance. Les décideurs décident, en leur âme et conscience. Et tant pis si leur âme est damnée, tant pis sur leur conscience est corrompue par je ne sais quelles idées préconçues. Ils ont le pouvoir, ils s’en foutent comme de leur première culotte, de ce que la populace pourra bien dire.

Tout ça pour dire quoi ? Le bonheur des uns fait le malheur des autres, et la mesquinerie gouverne le monde.

Constat amer comme une feuille de pissenlit, qu’on ne mangerait pas par la racine. Car quoi qu’on en dise, tant qu’il y a de la vie…
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 11:17

Sérieux pitié, tiens t'en a un seul topic pour tes textes, sinon on a pas fini -__-'
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 11:32

Comment fait on pour supprimé un article ?
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 13:42

Ne supprime rien, je fusionnerai tes topic, tu me dira comment tu veux nommer ton topic de textes et ça te fera un topic unique. Ça te va ?

Sinon, j'aime bien ce texte même s'il me semble manquer de maturité de par le thème choisi, ça me fait un peu penser aux textes anar d'un jeune ado "la société c'est du caca, l'iniquité est partout, blah!", le prends pas mal surtout, mais c'est mon sentiment.

Bon, outre le sujet, j'aime certaines tournures de phrases, y'a un style. ^^
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 15:57

C'est même parfait ! Un titre ? Hum, "Chronique", ça sera trés bien.

Tu sait, la maturité est une affaire de perspective, le constat peut être le même, cela dépend du sujet en question. J'essaye d'être objectivement subjectif. Et, merci pour tout Smile
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 20:40

Voila qui est fait. Smile

Quant à la maturité, le mot était peut être mal choisi. Disons que selon moi ce dernier texte me semble aller vers la facilité, vers des choses évidentes et au final il ne surprend pas. Après, ton but n'est peut être pas de surprendre ou de faire dans le supra-original-trop-underground-textes-contemporains-incompréhensibles-conceptuels-qui-enculent-les-mouches, j'en sais rien. ^^
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 20:55

le texte sur le dépressif partait bien, il aurait mérité d'être développé.
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 21:24

Juste une question : Où réside l'(in)utilité de l'Homme ?
C'est vrai, un décapsuleur c'est utile, une marteau c'est utile, une gazinière c'est utile...mais l'Homme ? Pourquoi devrait-il être utile au même titre qu'un objet fonctionnel ?
Peut être sommes nous là justement pour être inutile, nous sommes là parce que nous sommes là et nous choisissons (ou non) d'avoir un but et non une fonction.



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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeVen 21 Jan 2011 - 0:11

l'humain a quand même inventé le décapsuleur Uriah
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MessageSujet: Vol Plané   Chronique Icon_minitimeMar 1 Fév 2011 - 16:23

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Eclats de verre. Dispersion, froid et mouvement réfléchi. Je vérifie si ma ceinture est correctement attachée. Ma main parcours l'espace d'aire instable devant le volant, traversant les éclats. Je sers la boucle de la ceinture de toutes mes forces. La caisse dévale la pente douce. Chaque tonneau est plus grondant, la carlingue se déglingue... Et moi... Au volant... Un piquet de métal a traversé la porte passager... Personne n'était là, avec moi, ce jour-là... J'aperçois les vignes, les vignes émeraude... Le soleil me perce les yeux...

Le siège ce dégonde, le moteur c'est encastré sur le tableau de bord, je sens le sang qui coule sur mon front, l'odeur du métal en fracas, du sang, du verre, de plastique brûlé... Il ne pleuvait pas ce jour-là. Je ne roulais pas vite. La route effectua un petit virage léger. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé... J'entends des notes dans ma tête. Je vois des images, des sons, des amis... C'est très confus. C'est très diffus. Une voix aussi, très difficilement audible. Une voix de femme. Bien sûr, je pense que c'était celle de ma mère, ça coule de source. Je continue de dévaler la pente, c'est peut être le 6éme tonneau... Je ne sais pas quand ça va se finir... Je ne sais pas comment ça va se finir... Et, je ne sais pas comment Je, vais finir...
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeMar 1 Fév 2011 - 19:41

j'avais rabajoiser, mais ce serait vachement mieux si tu te relisais pour corriger les fautes qui piquent un peu les yeux... Uriah
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeMar 1 Fév 2011 - 22:24

Je n'ai pas les yeux partout en effet, je vais y faire attention...



Sesquy Uriah a écrit:
j'avais rabajoiser

Il ne faut pas mettre "-é" non ?
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MessageSujet: THE POWER MIND (Histoire en cours d'écriture...)   Chronique Icon_minitimeSam 5 Fév 2011 - 1:56

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Chapitre 1 : Arrivé Fantastique.

Impulsion, comme, une puissance tellurique très haute tension. Un raisonnable sentiment similairement semblable aux autres. Un rêve qui dort paisiblement. Une sensation de flottement. C'était, comme faire du hors-bord sur les nuages... Conduire un véhicule inarrêtable, qui détruirait tout devant lui... Voler au dessus du lac des ombres, survolant les esprits des abysses... Être au commande d'un Mangeur de planète, un engin si gros, qu'il est capable de mixer un monde entier... Tout ça n'a d'intérêt, n'a de comparaison, que si et toujours si, ces choses n'existerait pas.

Mais, j'ai déjà conduit un Hors-bord Jet-Speed au bord du gouffre central d'un cumulonimbus... J'ai déjà piloté un Sub Goard, le plus puissant véhicule tout terrain de l'histoire de la galaxie, au frontière du monde... J'ai déjà fait du parapente sur le lac des ombres, même que j'ai chuté dedans, absorbé par les morts putréfies, me débattant et combattant d'une main, et tenant le parachute de l'autre, enflammé par l'essence du souffle du dragon du Lac... J'ai déjà fait mes armes sur l'Ozymandias, le plus réputer des avaleur de planète... J'ai déjà vécu tout ça...

Je me permet ces comparaisons, pour oublier mon objectif. Je suis seul, sur le rebord de l'hélicoptère, tenant une photo de ma femme et mon fils, personne au commande, c'est un drone. J'ai les jambes dans le vide. Et dans le vide en face de moi, la forêt, d'un bleu aveuglant, assourdissante, assourdissante de cri puissant des Colivris, créature que je n'avais vu qu'en photo sur mes livres d'école... Je ne sais même plus ce que je viens faire ici. Mais je suis presque sur d'une chose, je ne reverrai plus les miens...

Je saute, fusil au main, le parachute ce déclenche. Comme un flash violet qui m'éblouis. Les branches cisaille les voiles. La lumière bleu intense était celle d'un Shmarr, le plus grand prédateur des bois. Il me bombarde de Spin, cette étrange matière si froide, que même un simple effleurement, carbonise. Une sangle explose sous le froid. Je tombe en chute libre, j'enclenche les stabilisateurs. Il ce dirige vers moi, aussi rapide qu'un léopard terrien. J'atterris en catastrophe. Je dégaine mon Mac Larson, j'essaye de visé juste, lorsqu'il s'arrêta net. Me fixant de ces 3 yeux jaune vif. Pendant une seconde, j'ai vu ma vie défilé par diaporama dans la lueur des ces yeux. Je ne pouvais plus actionner quoi que ce soit. Cette instant a duré une éternité pour moi.

Pour la suite des choses, je ne m'en souviens pas. Je me rappel avoir tiré une large salve de plasma, dans sa direction, et puis, plus rien. Je me suis réveillé au pied d'un grand chêne Jmmarr. Plus de fusil, plus de Jet Pack, plus de casque, plus de munition... Une coupure d'incisive au crâne. Incisive du Shmarr, très reconnaissable, du faite de ces dents courbé vers l'extérieur. La forêt était redevenu verte. J'étais plutôt rassuré, toute les créatures de la Forêt dégage une aura bleu écarlate visible a plus de 100 mètre. J'étais donc, seul. Je me suis rappelé de ma mission, réactivé un générateur de Gauss qui ce situe dans notre ancien camps de base, en plein territoire Alien... Voila ma mission. Peut être la dernière de ma vie! Je me suis relevé, j'ai retrouvé mon vieux couteau a quelque pas de moi, et je me suis lancé dans ma recherche, recherche désespérer et vaine de ce camps fantôme...

J'essaye de me souvenir ce que l'on m'a appris a l'école militaire. Les action qui vous sauverons la vie. D'abord, visualiser la situation. Je suis en terrain ennemie, seul, dans un milieux aride, sans provision, ni armes lourde. Je n'ai pas de géo-transmetteur, pas de moyen de communication ni d'alerte. Pas de fusée de détresse. Mes chance de survie sont inférieur à 0.9%. Normalement, l'hélico-drone était placé à 1 kilomètre de mon objectif. Je n'ai pas pu l'approché d'avantage a cause des Slickers qui rôde autour du complexe. Des espèces de grand vautour, 4 a 5 mètre de circonférence, très vorace et vivace. Et surtout, très dangereux. Il n'y a pas créature plus mortel dans les aires ici. Cette forêt ne s'étant pas sur tout le globe, elle n'est même pas si grande que ça, mais c'est l'endroit le plus sûr de Sirius. Je vous laisse imaginer le reste de cette horrible planète...

Chapitre 2 : L'Aurore sur Sirius.

On m'en a raconté des choses a propos de Sirius. Je peut vous réciter le didacticiel de navigation par cœur. Il passait en boucle a l'école des militaires. Sirius prime, La plus dangereuse planète de la galaxie. Aucune photo par satellite du sol n'existe, la stratosphère de souffre et de gaz spinifére empêche toute visibilité, et toute intrusion par l'espace a grand échelle. Sa taille est semblable a celle de la Lune. La diversité des espèces vivante est impressionnante. On dénombre pas moins de 958 race d'Alien. Ce qui en fait, la deuxième planète vivante de la galaxie. Après la notre. Elle est encore très peut connue des humains, et c'est aussi la 2éme planète de la galaxie habitable par l'homme, vue qu'elle est situé a bonne distance de son étoile, Hélios...

Vu que la nôtre est en très mauvaise état, a cause du soleil, c'est une de nos meilleurs option... Il arrive en fin de vie... Je n'en peut plus de cette chaleur, de ces Cité-Sphéres... La moitié de la planète Terre est devenu folle, et l'autre moitié, ce n'est pas mieux... Il n'y a plus de politique, plus de pays, plus de gouvernement depuis des lustres... Il n'y a plus que l'Armée. L'humanité a décidé de ce réunir en un seul endroit de tout le globe... L'Atlas. Situé, dans l'ancienne région du pôle nord glaciale, qui n'est plus glaciale du tout... Il y fait, à température externe, 98 Degrés... Nous avons franchi le seuil critique thermique depuis 1200 ans, et nos jour son compté.

Voilà le topo est très simple. Une colonie d'avant poste a était envoyé il-y-a 8 mois, pour étudier cette planète, elle avait pour mission de déclencher un générateur de Gauss haute puissance qui dissiperait la stratosphère, et permettrait ainsi l'invasion a grande échelle de la planète. Un hélico-drone peut traversé, ou un vaisseau d'expédition, mais pas les grand vaisseaux d'invasion. Il serait comprimé. Huit mois sans nouvelles, et ont envoi un éclaireur voir ce qui c'est passé, Moi, qui doit réactivé ce truc, que je n'ai jamais vu de ma vie. C'est de la folie a l'état pure. Mais bon, je suis payer pour faire ça, et c'est aussi mon métier après tout... Je ne me plains pas. Je voit de la fumée derrière un tas de buisson au loin, je crois que, oui, c'est bien mon drone... Merde !... Il a du être bouffé par une saloperie de Slicker... C'était ma seul chance de repartir d'ici... A moins qu'au camps il reste des engins de ce genre en état de marche... Et encore faudrait-il que j'y arrive vivant !

La forêt et bordé d'une grand mer de sel, très large, et aveuglante. La première expédition sur Sirius a commencé sur cette zone... Quel boucherie... Des créatures horrible rôde sur le sel. Des Ponderstrikers, des créatures de cauchemars. Sorte d'humanoïde très grand, des bras d'une longueur perturbante, un corps fin et maigre, trois jambes, et une tête, comment dire, trompeuse... Carré, placide, avec une bouche sur-dimensionnée, pas de nez, et des petit yeux jaune sans paupière, le visage est plutôt blême. Du moins, avant qu'il ce mette a gémir... Des cris affreux, comme des enfants, qui hurlerait toute les douleurs possible et imaginable... La bouche large s'ouvre pour laissé paraître une mâchoire dantesque, 3 ranger de dents les une derrière les autres... Ils démembrent leur victime avant de leur implosé le crâne. Ils ce nourrissent de matière grise... Voilà qui a de quoi mettre l'eau a la bouche...

J'avais oublié ma ma fidèle boussole, dans mon sac a dos ! Non pas magnétique, mais tellurique. L'avant poste a était construit sur les Grandes Plaines, un endroit toute aussi peut fréquentable. L'énergie du sol est très particulière a cette endroit de Sirius. Elle intéresse d'ailleurs grandement les scientifiques, cette énergie. La boussole détecte les fluctuations du champ tellurique environnent... Je suis d'accord qu'elle ne sert a rien, a part pour trouver ce foutu camp, et c'est pourquoi elle a était inventé ! ... Je ne doit pas être loin des mers de sel, les arbres ce font pâle, et comme, oxydé... A cause du sel certainement. Ah ! J'aperçois mon jet pack ! Il n'a pas l'aire de fonctionné... Par contre il-y-a 3 chargeur, pour le Mac Larson... Si je le retrouve bien sur... Sa, ça peut aidé !!

Sirius est divisé en plusieurs zone. Très distinct et diverse. Reflet de la complexité naturelle de cette planète. Qui intrigue tant les scientifiques... Il-y-a cette forêt, la mer de sel, les plaines, l'océan, les grottes, et le glacier. Pour vous donné une idée, voici les pourcentage qu'indique le didacticiel : Forêt : 10%, Plaines : 12%, Mer de Sel : 12%, Océan : 30%, Grottes : 18%, Glacier : 18%. Ma boussole m'indique, que les plaines sont a 1034 kilomètre de là... Merde! C'est du 29 a 30 jours de marche! Et je paris qu'il faudra que je traverse l'océan et les grotte pour y allé! Donc, sa sera bien plus long! Je savais que cela serait une mission suicide. En vue de la prime, je m'en doutais. Mais a ce point là! Je n'ai même pas de bateau, ni d'embarcation! Et les créatures marine, sont juste énorme, et vorace! Je ne ferais même pas 10 mètre à la nage. Je ne sait même pas a quoi ressemble le complexe...

Chapitre 3 : Débacle, combat et pérdition.

Qu'est ce qu'il a foutu ce drone! Il était censé me largué à 1 kilomètre de la base ! Il c'est planté en beauté. Une perturbation sans doute... Les drones sont programmés sur terre, les données géographique sont contrôlé une bonne centaine de fois... Sa m'étonne quand même... Je ne sait pas quoi faire! Soit je me lance dans une expédition d'un mois, qui me mènera dans les endroits les plus dangereux de la galaxie, sans être sur de trouvé au bout de cette planète, ce que je cherche, cette base, soit, j'atteins ce fameux kilomètre, qui est à peine à deux heure de marche, et je regarde ce qui l'en est... Je vais me laissé tenté par la deuxième option !

J'ai fait la moitié du chemin, et je ne sait pas pourquoi, mais il fait froid, de plus en plus froid. Je n'ai croisé aucune créature, je n'ai rien entendu, pas un souffle de vent, ni un bruit étranger. Juste, une sorte de sifflement. J'étais a quelque mètre de l'émission tellurique qu'avais repéré le drone. Mon matériel c'est coupé d'un seul coup quand je suis arrivé à sa hauteur... J'ai eu, comme un gros frisson me tranchant le dos. J'ai tremblé un instant. C'était un drone, en piteuse état. Il semblait avoir était transpercé. Une odeur bizarre s'échappait de la carlingue de l'engin. Mon Larson était là lui aussi. Tout semblais flotté autour de moi, l'air, le vent, les arbres, je me sentais pas très bien en faite, et, je me souviens avoir tiré vers le ciel. J'ai vue une forme bougé dans la forêt, je la sentais m'observer. Elle faisait des cercles concentrique autour de moi. Je tirais dans tout les sens. Je devais être ridicule a voir. Çà chlingué le plasma, et le métal chaud. J'ai vidé un chargeur avec le Mc Larson en une seul fois, sans relâché la gâchette. C'est quand je me suis retrouvé a sec, que je me suis évanouie...

Ne me demandé pas de vous sortir une explication foireuse sur le comment du pourquoi. Je n'ai jamais était doué pour mentir. Ça m'a causé pas mal d'ennui étant petit. Je ne sait pas comment je suis arrivé là, mais j'y suis a présent. Je me suis réveillé, peut être quelque heure après, je ne sait pas vraiment, ma montre ne c'est toujours pas remit en marche, mais au vue des mes douleurs dorsale, je dirais une bonne heure. Le ciel était claire. Il n'y a pas de nuage sur Sirius. Donc, pas de pluie, ni d'orage, ni rien de tout ça. C'est la première chose que j'ai vue en ouvrant les yeux. Je ne l'avais rarement vue jusqu'à présent, les arbres de la forêt montent assez haut. Alors que là, ciel large, bleu cyan crème, pas d'arbre au alentour, pas de vent, juste, une plaine, une plaine gargantuesque, jusqu'aux horizons. J'ignore comment je suis arrivé la, mais j'y suis. Comment ai-je pu parcourir 1024 kilomètre, une mer de sel, un océan, en a peut prés une heure ? Que faisait ce deuxième drone à cette endroit ? C'est a devenir fou.

J'ai une pensé, très longue sur ma vie. Ma vie avec ma femme, mon fils, mes amis, qui sont loin, pour la plupart plus là du tout. J'ai rencontré ma future épouse a une soirée entre ami. C'est plutôt rare de ce retrouver de nos jours pour passé un agréable moment comme ça. Elle était magnifique... Une robe merveilleuse de couleur impossible. Si je devais décrire le coup de foudre, je l'appellerais de son prénom. Lisbeth. On n'a pas arrêté de ce regardé, de parlé, de rire tout les deux toute la soirée. A en oublié tout les autres. Qu'est ce que je ne ferais pas, pour revenir en arrière. Me réinstallé, la maintenant, dans ce fauteuil, ce soir la, a côté d'elle. Au lieux de ça, cette endroit bizarre. Des événements complétement aléatoire. Mon aventure est de plus en plus incompréhensible. Je m'en excuse. Même moi je m'y perd. J'ai soudain le même sentiment qui ma saisi au moment ou j'ai sauter dans le vide au dessus de la foret, cette sensation de flottement...

Il doit faire 5 ou 6 mètre. Ça va être très difficile a décrire. Il est arrivé d'un seul coup. Juste après la drôle de sensation. Une sorte, de poulpe très bizarre. Deux têtes, si c'est bien des têtes, orne un corps frêle et quasi invisible. Cette chose a quatre pattes, très mince, comme des tiges, pointu, et longue. Quand je dit qu'il est arrivé, je devrais dire, téléporté. Il est apparu dans une sorte d'éclair violet. Je pense qu'il ma suivie dés mon arrivé. Lors de ma chute. Il a du téléporté le drone quand j'ai sauter. Et, Il, m'a téléporté ici. Il me regarde fixement. Je ne discerne pas d'yeux, mais je sens le poids d'un regard lourd et oppressant. Cette chose est assez envoutante. Deux grosse boule de geisha qui tourne à la verticale en cercle. Je me répète dans ma tête, ce que je viens faire ici, sans arrêt, parce que je doute réellement ce que je fout ici, après ce genre de rencontre et d'aventure...

Toujours pareille, je ne sait pas qui a agit en premier. Je me vois l'insulté. Dégainer mon Larson quand il a commencé a me faire valdingué en l'aire avec une de ces tentacules. J'émerge. Je tir une salve vers ce truc, je lui sectionne une patte. Il a l'aire déséquilibré, il titube. Le Larson s'enraille. Boule de Geisha me tombe dessus avec une démarche effrayante, il tente de me soulever, je saisi mon couteau de secours, que j'avais totalement oublié, mais, me retrouvant la tête en bas, flottant dans les aires, et voyant tombé devant mes yeux ce joli couteau, je me dit, a oui, lui, je l'avais oublié. Il me frappe une fois par terre, pas très fort, je retombe enfaite, peut être suis-je trop lourd pour lui. Je rampe sur le sol en direction de mon fidèle couteau rescapé. La tentacule toujours autour de ma jambe, ce retrouve coupé par ma lame sur-aiguisé. Aucun cri ni réaction particulière venant de Lui. J'entends soudain un bourdonnement, je le regarde, et je vois ces deux sphère violette s'agiter, devenir électrique, et d'un coup, avec une vitesse impressionnante, les deux sphère s'entrechoqua, dans un fracas sourd, je me suis senti, absorbé, par ce vortex violet, et électrique.

Je ne suis pas fait pour ce genre de chose en fin de compte. J'ai beau être un mercenaire, un chasseur de prime, un soldat, je ne suis pas entrainé a ça ! Bon, j'étais aussi un prisonnier avant tout ça... Merci au colonel Parserton, d'ailleurs, qui a dirigé le programme de restructuration des organismes de réhabilitation des détenus. Une belle connerie tout ça oui ! Prendre des taulards, leur mettre un fusil dans la main, et bien leur répété, que c'est ça, ou la chaise. Parce que la chaise électrique existe toujours, c'est bien la seul chose qui n'a pas changé depuis l'ancien temps. La connerie humaine !

... A suivre...
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MessageSujet: Re: Chronique   Chronique Icon_minitimeMar 18 Juin 2013 - 23:54

Les sentiers du vide.

L'odeur fétide du retour aux sources m'est toujours aussi désagréable... L'idée du changement écroule dans sa chute toutes les forteresses bâties à la gloire de l'utopisme qui fait ma base. C'est la montagne qui se brise dans la mer, éclatant d'infime particules de çà et là, sur et à l'intérieur du, moi. Mais dans le chaos, l'obscurité est roi, et les paradis abyssaux éclairs de leurs lumières froides les sentiers du vide juste à mon pas. Dans cet élan, je me trouve, simple et admirateur, humble et en même temps vengeur, groggy, calme et surtout, serein. Le stress soutient sans soucie ces songes souterraines aux allures de péchés insolites, mais l'illusion demeure toujours dans l'inattendu. La crainte n'est plus permise, les intérêts ont changé maintenant, la curiosité a dominé le savoir quand celui-ci avait le dos tourné. Bien mal lui en a prit de se désintéresser de ce qui a fait sa réputation autrefois, de pierre le tombeur tomba mal.

Ensuite, c'est très simple. Pas de passe-passe de mot, ni de terme pompeux pour gonfler un récit qui vous le savez, finira comme il a commencé, incompréhensible. Je ne retiendrais que quelques mots, balancés en fronde : prétentions, égoïsme, mes vieux amis, venez voir par ici, ci-gît, suis. Je tombe dans la facilité, je vieillis mon alphabet ringard, je porte sur moi la trace d'une civilisation de ringard maudit, has been, et, mal habillé. Je suis et je resterai le porte-parole du vide, toujours en tête de gondole, bien en évidence, l'autocollant « En solde » étiqueté sur le front. Je n'aurai pas bézef à dire, certes, mais mon grand pouvoir résidera encore et encore, dans le brassage, de rien. Tant de que dalle pour pas grand-chose, c'est un exploit que je m'attribue volontiers !
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