L'histoire du Rock

Source :ICI

I) Le Rock'n'Rock

Si une date était à retenir, ce serait certainement 1953, année des chansons « Crazy Man Crazy » et « Rock Around The Clock » de Bill Halley and His Comets qui représentent les premiers pas du rock.
C'est donc dans les années 50 que le Rock naît. Ses racines sont nombreuses et toutes populaires : le rythm and blues, le country and western, le folk, le blues...
Dans sa forme originelle, le rock'n'roll vient surtout du mélange entre le blues et la country.
Il a hérité des structures du blues mais se joue plus rapidement au point de pouvoir faire danser ceux qui l'écoutent...
Malgré certaines différences (un cycle de douze mesures) pour le blues, huit mesures pour la country), la rencontre de ces deux genres musicaux issus de la tradition américaine contribuent à l'apparition, au début des années cinquante, d'un nouveau style, structurellement simple, rythmiquement imparable, le rythm and blues.
L'évolution des techniques a aussi sa place dans l'apparition du rock'n'roll : en 1923 Lloyd Loar, un ingénieur de chez Gibson, invente la guitare électrique, qui seule rivalisait parfaitement avec les autres instruments bruyants des orchestres de folk. De plus, la guitare électrique était bon marché, peu encombrante et techniquement accessible.


1) Chute du rock'n'roll en 1960

Vers la fin des années 50, le Rock a perdu de sa vitalité initiale et stagne aux Etats-Unis.
Les causes sont entre autre le départ d'Elvis Presley pour l'armée en 1958, de nombreux chanteurs plus ou moins « rebelles », ont bien tentés en son absence de le remplacer auprès de son public mais Elvis est unique.
On peut mettre en cause également la mort de Buddy Holly en 1959, la mort de Cochran dans un accident de voiture en 1960 dont Gene Vincent s'en sortira gravement handicapé, mais aussi l'orientation de Little Richard vers la religion, celui-ci deviendra pasteur.
L'Amérique espère alors revenir à de vraies valeurs. L'état propose des modèles traditionnels, respectables et inoffensifs. Fini les modèles rebelles pour la jeunesse. Pourtant le rock a laissé une empreinte bien présente et ancrée dans les esprits de cette génération et des générations suivantes. Avec son énergie brute, sa décontraction et sa générosité, il a permis à la jeune génération de sortir de l'après-guerre.
Rejetant des années de pouvoir exercées par des politiciens âgés et corrompus, la jeune Amérique porte à la présidence, en 1960, un homme au profil de star : Kennedy. Sa mort en 1963 coïncidera avec la naissance du " protest-song ", premier signe de la contestation politique au sein du rock.

2) La période anglaise

Dès 1956, le " rock and roll " débarque en Angleterre, le début des années 60 est marqué par l'apparition de grands groupes populaires, qui resteront à travers les âges.
Ce sont des groupes comme les Beatles, ou les Rolling Stones qui vont devenir les symboles de toute une génération.
Ces artistes inventent un monde fantastique dans lequel se retrouvent tous les jeunes.
La période anglaise est également marquée par un groupe qui va même jusqu'à tourner en dérision sa propre musique : les Who. Ils ont inventés la guitare pop et sur scène les guitares étaient brisées, les amplis démantelés.
A la fin des années soixante, les paroles simplistes et sentimentales des chansons rock furent remplacées par des textes plus engagés sous l'influence de Bob Dylan. Il est le premier artiste contemporain à jouir d'une aussi grande influence sur une génération qui partage les mêmes aspirations de liberté et d'anticonformisme .
Pour la première fois, la musique pop n'est plus qu'un simple divertissement, mais devient un engagement social et politique. Le fait que Bob Dylan écrive et chante ses propres œuvres lui permet de réagir en temps réel à l'actualité brûlante des années 60, période où la guerre froide entre les deux grands blocs fait rage. (Cuba, Viêt-nam, etc.).
On peut distinguer deux grands courants dans l'école anglaise : le premier fortement marqué par le blues originel et le second au son nettement plus dur qui débouchera sur le hard rock.

4) La période contestataire

A la fin des années 60 apparaissent de nombreux groupes américains.
L'aspect contestataire du rock s'affirme, le ton initial est celui de la révolte, il tend vers une certaine démesure instrumentale et sonore, favorisée par les progrès de l'amplification, la multiplication du nombre d'instruments et l'organisation des concerts transformés en gigantesques shows sonores et lumineux.
Le rock s'attaque à la politique et aux idéologies, principalement à cause de la guerre du Viêt-nam, qui accable les jeunes. L'abolition de nombreuses frontières, surtout morales, est à l'origine du mouvement hippie. Paix et amour sont les deux mots d'ordre officiels.
La fin des sixties fut aussi l'époque de l'explosion psychédélique, dont les grandes figures furent Jimmy Hendrix, les Doors, les Who, Pink Floyd ou Jefferson Airplane, tous marqués par le mouvement hippie et les événements émancipateurs des années 1968-1970 aux États-Unis et en Europe. Malheureusement, le Rock prends ses bases dans l'expérience physique, dans l'excès et souvent dans la drogue dont le L.S.D. Cet aspect amènera la plupart des groupes à perdre nombre de leurs membres. De cette phase psychédélique naîtra un nouveau courant : le rock progressif.
Les festivals se font de plus en plus nombreux et attirent des milliers de personnes, celui de Woodstock, dont le slogan est "trois jours d'amour et de paix", attire toute la jeunesse américaine à respecter le proverbe « peace and love » contre la guerre. Ces grands festivals de rock organisés à cette époque sont l'occasion de grands rassemblements au cours desquels sont célébrées, sur fond de drogues et de contestation, les valeurs de non-violence, de fraternité et de communauté.

II) Les 70's

1) Le rock se diversifie

- Le « Jazz-Rock » est un genre de musique créé par le rapprochement du rock au jazz. Il est joué par des groupes comme Soft machine ou Weather reaport.
- Le « rock progressif » est lui influencé par la musique classique européenne. Les groupes tels que Genesis et Yes en sont les principaux joueurs.
- La country, pratiquée par Eagle eyes, Neil Young,...
- Le blues mêlé au rock violemment électrique donnera le hard rock ou heavy métal, joué par des groupes tels que Led Zeppelin ou Aerosmith.
- Sous l'influence d'un groupe new- yorkais se créa le velvet underground, appelé aussi le glamour rock, ou glitter rock, un rock qui se donnait une image décadente, malsaine. Ce mouvement se développa en Angleterre et aux Etats-Unis avec par exemple David Bowie.
- Combiné avec d'autres artistes venant du hard rock comme Iggy Pop (L'Iguane), ce style annonça en Grande Bretagne l'explosion du punk avec comme figures The Sex Pistols, The Clash.
- Le reggae: avec Bob Marley et the Wailers.

2. Le rock progressif (https://forum-eclectique.forumactif.org/rock-f11/le-prog-pour-les-nuls-t307.htm)

Le rock progressif est un genre musical apparu à la fin des années soixante et proposant une musique complexe. C'est un style de rock particulièrement élaboré tant dans la technique instrumentale que dans la composition, riche rythmiquement et mélodiquement.
De nombreux artistes se sont inspirés de la musique classique pour agrémenter ce style de rock très contrasté.
Une des caractéristiques marquante du rock progressif est la durée des morceaux, qui atteignent parfois les vingt minutes, voire tout le long d'un support audio.
De manière générale, les paroles des morceaux (quand il y en a) sont assez recherchées, souvent inspirées d'histoires, de légendes, de récits, du folklore, du théâtre, de la mythologie, de spiritualité ou de poésies contemporaines.
Les artistes de rock progressif utilisent un nouvel instrument : le synthétiseur.
Les influences du rock progressif sont :
- la musique électronique, dont le développement est lié à l'invention de nouveaux équipements ;
- la musique classique ;
- la musique symphonique, qui a inspiré des groupes comme Genesis, Ange, Machiavel et Yes : leurs morceaux incluent des harmonies vocales élaborées soutenues par une forte instrumentation où sont utilisés particulièrement les claviers et synthétiseurs ;
- le folklore européen est une composante importante du rock progressif dont la musique est influencée par les madrigaux et les motets de la période médiévale ;
- le rock heavy-metal : avec ses basses et batteries énergiques, ses solos et riffs de guitares acrobatiques, un son agressif et dynamique, des vocaux puissants fusionnant avec des harmonies et des contrepoints(3) très complexes, des claviers virtuoses et des textes intelligents dans de longues compositions aux structures élaborées et mouvantes.
Les figures de ce rock sont entre autres les Pink Floyd, Genesis, Yes...

III) « L'avant-punk »

1) Le rock s'assoupi

Le début des années 70 est marqué par une phase où le rock s'engourdit. Jimmy Hendrix, Jim Morrison ou Janis Joplin, autant de symboles d'une liberté artistique, disparaissent.
Le rêve des années soixante est brisé, les illusions perdues, le mouvement hippie s'effrite et le rock va basculer dans une nouvelle dimension, moins spontanée, plus réfléchie.
Les concerts ont perdus leur énergie des débuts. Les mélodies sont devenues bien trop éthérées pour réveiller qui que ce soit.
Du côté de nos voisins d'outre-manche, on se passionne pour une pop musclée et colorée, là on retrouve Slade et Gary Glitter qui sont deux des quelques noms qui font se pâmer toute une génération de teenagers en mal de nouvelles idole, David Bowie et Marc Bolan (T Rex), à leurs tours suivis de près par des groupes élégants et décadents tels que Roxy Music.

2) Le Hard Rock

Sous l'influence du groupe new-yorkais le Velvet Underground (créé par Andy Warhol et Lou Reed), un style de rock se donnant une image décadente et surnommé glamour rock ou glitter rock, se développe en Angleterre et aux Etats-Unis. Ce style prépare le terrain à l'explosion en Grande-Bretagne de la vague punk.
C'est à cette époque qu'émerge le Hard Rock, né du blues mêlé au rock violemment électrique. On y retrouve des groupes tels que Aerosmith, Kiss, Van Halen, Queen, AC/DC, Judas Priest, Deep Purple ou encore Scorpions.
Ils délaissent les bases musicales au profit d'une mise en valeur d'éléments extra-musicaux spectaculaires (vêtements, maquillages, pochettes de disques, décors de concerts,...).
Ce rock pesant, total, rapide et surtout extrêmement brutal prend sa source dans la volonté affichée des musiciens de combattre le pouvoir en place par tous les moyens.

IV)La vague punk

1) Les origines
Il faut attendre les années 76-77, pour que le rock connaisse à nouveau une mini révolution :
En effet, en réaction à cette baisse de régime, un ras-le-bol tonique et destructeur, une nouvelle génération de rockers voit le jour.
Essentiellement dans les grandes villes, des gamins se révoltent contre ce système établi. Ils veulent réveiller cette musique qui se laisse aller...

2) Le message du punk

Le Punk exprime une révolte totale, aussi intense que violente, contre l'ordre établi, qu'il soit politique, social ou culturel.
Il repose sur une musique délibérément agressive et peu construite, et sur une attitude provocatrice : habillements négligés, t-shirts troués,... La mode punk tourne autour des coupes de cheveux extrêmes, telles la crête, le piercing (souvent avec des goupilles de sécurité), le tatouage et la réappropriation « artistique » des vêtements de masse.
Pour se manifester, les punks prennent des guitares, bien dissonantes pour que ce soit le plus insupportable possible, les paroles de leurs chansons apportent une nouvelle franchise d'expression dans les sujets politiques et sociaux, traitent souvent de l'ennui urbain et du chômage en hausse au Royaume-Uni. Les thèmes sexuels sont abordés aussi et ne se limitent plus à l'amour sublimé qui était chanté ailleurs. Ils se servent des pochettes de disques comme des instruments ironiques de détournement des valeurs sociales et de la culture populaire.
Le punk critique et remet tout en cause, pêle-mêle ; le pouvoir des maisons de disques, la période disco, le rock progressif condamné pour sa prétention, la bourgeoisie, ... Il crache littéralement son dégoût de la société et clame son pessimisme quant à un futur incertain : sa devise est « no future » (« pas de futur »), et son principal mot d'ordre est « destroy » (« détruisons ! »).
L'agressivité dégagée est telle que certains chanteurs de ces groupes poussent leurs mouvements théâtraux jusqu'à l'automutilation.
Les chansons sont courtes, heurtées et la mélodie est souvent absente. Refusant toute démonstration ostentatoire de virtuosité, le punk engageant n'importe qui à former son propre groupe dans son garage.
Les pionniers de ce genre sont les Sex Pistols qui hurlent « Anarchy in the UK » ! Les Clash se montrent aussi percutants et dérangeants que les Sex Pistols, même si ils délivrent un message contestataire plus structuré.


V) Les 80's

1) La New WaveLa chute du mouvement punk fait place dans les années 80 à la new wave (nouvelle vague). Néanmoins, il reste un héritage du punk. En effet, celui-ci ayant encouragé les jeunes à tenter leur chance, nombre de ces derniers se sont lancés dans la musique.
La new wave est un style de rock plongé dans une atmosphère souvent froide et morbide, créée par des lignes de basse omniprésentes, des guitares aériennes, des nappes de synthétiseurs vaporeuses et des rythmes très réguliers.
Les musiciens de cette tendance évoquent les aspects les plus désespérés de la condition humaine, utilisant parfois des références littéraires, principalement le symbolisme et le romantisme.
Cette musique est aussi plus mure, plus intellectuelle que par le passé, et utilisant volontiers des instruments nouveaux tels que les synthétiseurs.
A cette époque, le rock intégra les nouveaux apports de la musique noire : le funk (James Brown, George Clinton), la soul (Marvin Gaye, Tina Turner), le disco (Chic, Georgio Moroder) et le reggae (Bob Marley).
La new wave donnera naissance au fil des années 80 à des styles comme le speed metal, le death metal, le trash metal, le grindcore, le gothic (Christian Death), le rock progressif (Pink Floyd), le glam (Rod Steward), ainsi qu'un culte de la mode androgyne (David Bowie). On assiste aussi au développement d'une musique plus radicale: le hard rock ( Iron Maiden), puis heavy metal (Metallica).

2) Evolution vers la musique « éléctro. »

Avec les nouvelles technologies, le rock devient un phénomène universel et quotidien et la rupture punk/new wave s'accentue.
C'est le début de la techno-pop venue d'Angleterre qui envahit les E-U. Ce mouvement s'amplifie avec la création de la chaîne de télévision MTV aux Etats-Unis qui constitue l'un des événements majeurs de l'histoire du rock.
Certains y voient là une grave menace de banalisation et de perte de qualité, d'ailleurs, les Buggles chanterons « Video Kills the Radio Stars » (« La vidéo tue les stars de la radio »).
Certains artistes ont alors une tendance à écrire leurs musiques sur ordinateur et c'est à cette époque que le public se trouve une attirance pour la danse, le glamour et les paillettes.
La fin des années 1980 vit aux États-Unis l'émergence du rap, qui mêle un funk répétitif au texte scandé. Utilisant des techniques comme l'échantillonnage (sampling), scratch et fusionnant parfois avec le rock (Run DMC), le rap est devenu également un phénomène mondial.

VII) Retour aux sources : les 90's

Dans les années 90, on peut voir dans un premier temps un retour au premier plan de groupes comme les Pink Floyd, les Rolling Stones ou encore la reformation du Velvet Underground alors que la carrière du groupe Queen s'interrompt en 1991 avec la mort de Freddy Mercury. Même certains groupes disparus sont réhabilités ; c'est le cas des Doors avec la sortie du film d'Oliver Stone en 1991.
C'est à cette époque que le rock redevient un phénomène social sous l'impulsion de la scène bruitiste avec des groupes comme Sonic Youth, Pixies, Nirvana, Pearl Jam, Sound Garden, Smashing Pumpkins.

1)Le mouvement grunge

Le mot grunge, qui signifie " crasse ", est aujourd'hui associé à un genre musical fait de pesanteur et d'un son primaire dans lequel s'est retrouvée une génération révoltée contre l'ordre établi. Kurt Cobain, en aura été le chef de file grâce à l'énergie de ses prestations, la provoc de ses concerts, où il n'était pas rare de le voir se rouler sur scène. Mal dans sa peau, le leader de Nirvana choisi de brûler sa vie à coups de drogues, d'alcools et d'antidépresseurs.
Sur le plan esthétique, le grunge se traduit par le port de vieux jeans troués, de gilets de laine décousus, par de longs cheveux crasseux pleins de pellicules, ...
En effet, le mouvement grunge affirme qu'il faut se servir de son corps et de son esprit pour illustrer la loi de désorganisation de la matière.
Ainsi, le grunge est une forme de body art : la crasse, la saleté, la graisse, les pellicules, lui servent à renvoyer à chacun l'image de sa propre déstructuration, acceptée et accélérée pour les besoins de la démonstration.
Les punks disaient "No Future !", et c'était pour eux un mot d'ordre, une revendication. Les grunges disent "No Hope !", pas d'espoir, et c'est pour eux un abandon. La matière les a vaincus. Ils ne lui opposent que le laisser-faire : laisser faire le temps, laisser faire le corps, laisser faire la vie.
Néanmoins, le grunge est bien plus qu'un style musical et vestimentaire, il est une philosophie, un mode de vie.
Pour les membres de Nirvana, il symbolisait leur rébellion, leur révolte contre le système, un pessimisme incroyable, cette manière d'emmerder tout le monde.
Nirvana incarne le malaise d'une jeunesse qui ne se reconnaît pas dans les valeurs défendues par la société libérale. À l'époque, on parle de rock alternatif, mais pas encore de contestation. L'anti-mondialisation se prépare et l'engagement est là, tout autant que la colère.
Kurt Cobain se dresse contre le manque d'idéal en général, avec en ligne de mire une Amérique arrogante, croulant sous le profit, qui cherche à imposer sa loi partout dans le monde. C'est ainsi que la fièvre grunge des années 90 va essaimer dans les clubs de la planète, séduisant une large poignée de jeunes qui rêvent d'un monde meilleur.
Malheureusement, avec le succès énorme de Nirvana, le grunge devint vite une mode et tomba dans le piège du système que le groupe haïssait tant. Ainsi tous ceux qui voulaient faire tendance ou étaient décidés à faire un pied de nez à leurs parents adoptèrent le style grunge, sans bien en comprendre le sens. Certains créateurs de mode opportunistes copièrent même ce mouvement pour l'amener sur les cintres des grands magasins. Le grunge devint alors l'inverse de ce qu'il était au départ, incarnant désormais la victoire du système sur des rebelles excités et anarchistes.
Kurt Cobain déclare en 1989 qu'il veut révolutionner le rock et entre dans la légende du rock en se "suicidant" (edit de ma part, navrée...) le 05 avril 1994.

** Le rock aujourd'hui, diversité des styles **

Il est difficile de définir le rock aujourd'hui car on assiste à un éclatement et à des mélanges de genres que se soit en France ou outre-Atlantique. On peut distinguer la techno-rock, le hard-core, le punk rock, le black metal, le death metal, ...
De nos jours, à chaque naissance d'un groupe, on peut lui assimiler un genre bien particulier...


PROCHAINEMENT : des images pour illustrer tout ce bordel textuel...^^

Citation :

Kurt Cobain déclare en 1989 qu'il veut révolutionner le rock et entre dans la légende du rock en se "suicidant" (edit de ma part, navrée...) le 05 avril 1994.

Ne provoque pas de débat!!!! hahahaha

T'aurais du dire, entre dans la légende du rock en décédant.

En même temps, ce n'est pas moi qui est tapé tout ça, mais je trouvais ce resumer sur l'histoire du rock plutôt bien fait.
Pour Kurt, oui, n'ouvrons pas le debat ici, au pire, ouvrez un topic.

Sid a écrit:

La chute du mouvement punk fait place dans les années 80 à la new wave (nouvelle vague). [...]
La new wave est un style de rock plongé dans une atmosphère souvent froide et morbide, créée par des lignes de basse omniprésentes, des guitares aériennes, des nappes de synthétiseurs vaporeuses et des rythmes très réguliers.

C'est un peu plus subtil que ça, non? :p

La new wave a, pour moi, commencé dans la deuxième moitié des années 70 voire même en même temps que le punk, avec notamment Blondie ou les Talking Heads, qui ont débuté en même temps que les Ramones et Patti Smith.

Pour ce qui est de la description, on est plutôt dans la branche froide du post-punk.


Sinon, le résumé est intéressant dans une certaine mesure. Dommage que la source elle-même ne cite pas ses sources.