Ou en êtes vous avec votre ego ?

L’ego allegro…

La meilleure base pour aimer le monde.
Quel plaisir d’être soi ! De vivre le grand amour avec sa petite personne ! De se sentir bien lorsqu’on pense à soi, lorsqu’on se regarde dans le miroir, qu’on fait le bilan de ses actions. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Au contraire, c’est le meilleur socle possible pour que le monde tourne rond. Si chacun se souciait davantage de vivre heureux en sa propre compagnie, que de conflits inutiles seraient évités ! Pourquoi diaboliser l’ego ? La fausse modestie et les altruismes en toc ou en névrose massive (s’occuper des autres parce qu’on est incapable de s’occuper de soi), cela vous agace.

Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

Les bénéfices de votre attitude : joie de vivre et énergie. Une personnalité riche, présente, engagée, affirmée. Vous n’avez pas peur de faire entendre vos avis et besoins, de demander à ce que vos attentes soient satisfaites, et à tout faire pour qu’elles le soient. Au passage, cela peut aussi vous aider à changer le monde, même si au départ c’est pour des raisons de convenances personnelles : ce qui est bon pour vous l’est aussi en général pour les autres !

Les inconvénients de votre attitude : Il y a des défauts dans votre cuirasse, vous en êtes parfaitement conscient(e). Du côté, par exemple, de l’égoïsme ou de la mauvaise foi. Mais aussi du côté de la déception: il peut vous arriver de passer de l’amour au désamour et à la colère contre vous-même. De vous en vouloir à l’excès, d’avoir envie de vous faire du mal.

Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.

L’ego allegro…

La meilleure base pour aimer le monde.
Quel plaisir d’être soi ! De vivre le grand amour avec sa petite personne ! De se sentir bien lorsqu’on pense à soi, lorsqu’on se regarde dans le miroir, qu’on fait le bilan de ses actions. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Au contraire, c’est le meilleur socle possible pour que le monde tourne rond. Si chacun se souciait davantage de vivre heureux en sa propre compagnie, que de conflits inutiles seraient évités ! Pourquoi diaboliser l’ego ? La fausse modestie et les altruismes en toc ou en névrose massive (s’occuper des autres parce qu’on est incapable de s’occuper de soi), cela vous agace.

Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

Les bénéfices de votre attitude : joie de vivre et énergie. Une personnalité riche, présente, engagée, affirmée. Vous n’avez pas peur de faire entendre vos avis et besoins, de demander à ce que vos attentes soient satisfaites, et à tout faire pour qu’elles le soient. Au passage, cela peut aussi vous aider à changer le monde, même si au départ c’est pour des raisons de convenances personnelles : ce qui est bon pour vous l’est aussi en général pour les autres !

Les inconvénients de votre attitude : Il y a des défauts dans votre cuirasse, vous en êtes parfaitement conscient(e). Du côté, par exemple, de l’égoïsme ou de la mauvaise foi. Mais aussi du côté de la déception: il peut vous arriver de passer de l’amour au désamour et à la colère contre vous-même. De vous en vouloir à l’excès, d’avoir envie de vous faire du mal.

Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.

L’ego allegro…

La meilleure base pour aimer le monde.
Quel plaisir d’être soi ! De vivre le grand amour avec sa petite personne ! De se sentir bien lorsqu’on pense à soi, lorsqu’on se regarde dans le miroir, qu’on fait le bilan de ses actions. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Au contraire, c’est le meilleur socle possible pour que le monde tourne rond. Si chacun se souciait davantage de vivre heureux en sa propre compagnie, que de conflits inutiles seraient évités ! Pourquoi diaboliser l’ego ? La fausse modestie et les altruismes en toc ou en névrose massive (s’occuper des autres parce qu’on est incapable de s’occuper de soi), cela vous agace.

Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

Les bénéfices de votre attitude : joie de vivre et énergie. Une personnalité riche, présente, engagée, affirmée. Vous n’avez pas peur de faire entendre vos avis et besoins, de demander à ce que vos attentes soient satisfaites, et à tout faire pour qu’elles le soient. Au passage, cela peut aussi vous aider à changer le monde, même si au départ c’est pour des raisons de convenances personnelles : ce qui est bon pour vous l’est aussi en général pour les autres !

Les inconvénients de votre attitude : Il y a des défauts dans votre cuirasse, vous en êtes parfaitement conscient(e). Du côté, par exemple, de l’égoïsme ou de la mauvaise foi. Mais aussi du côté de la déception: il peut vous arriver de passer de l’amour au désamour et à la colère contre vous-même. De vous en vouloir à l’excès, d’avoir envie de vous faire du mal.

Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.

L’ego allegro…

La meilleure base pour aimer le monde.
Quel plaisir d’être soi ! De vivre le grand amour avec sa petite personne ! De se sentir bien lorsqu’on pense à soi, lorsqu’on se regarde dans le miroir, qu’on fait le bilan de ses actions. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Au contraire, c’est le meilleur socle possible pour que le monde tourne rond. Si chacun se souciait davantage de vivre heureux en sa propre compagnie, que de conflits inutiles seraient évités ! Pourquoi diaboliser l’ego ? La fausse modestie et les altruismes en toc ou en névrose massive (s’occuper des autres parce qu’on est incapable de s’occuper de soi), cela vous agace.

Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

Les bénéfices de votre attitude : joie de vivre et énergie. Une personnalité riche, présente, engagée, affirmée. Vous n’avez pas peur de faire entendre vos avis et besoins, de demander à ce que vos attentes soient satisfaites, et à tout faire pour qu’elles le soient. Au passage, cela peut aussi vous aider à changer le monde, même si au départ c’est pour des raisons de convenances personnelles : ce qui est bon pour vous l’est aussi en général pour les autres !

Les inconvénients de votre attitude : Il y a des défauts dans votre cuirasse, vous en êtes parfaitement conscient(e). Du côté, par exemple, de l’égoïsme ou de la mauvaise foi. Mais aussi du côté de la déception: il peut vous arriver de passer de l’amour au désamour et à la colère contre vous-même. De vous en vouloir à l’excès, d’avoir envie de vous faire du mal.

Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.

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Quel plaisir d’être soi ! De vivre le grand amour avec sa petite personne ! De se sentir bien lorsqu’on pense à soi, lorsqu’on se regarde dans le miroir, qu’on fait le bilan de ses actions. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Au contraire, c’est le meilleur socle possible pour que le monde tourne rond. Si chacun se souciait davantage de vivre heureux en sa propre compagnie, que de conflits inutiles seraient évités ! Pourquoi diaboliser l’ego ? La fausse modestie et les altruismes en toc ou en névrose massive (s’occuper des autres parce qu’on est incapable de s’occuper de soi), cela vous agace.

Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

Les bénéfices de votre attitude : joie de vivre et énergie. Une personnalité riche, présente, engagée, affirmée. Vous n’avez pas peur de faire entendre vos avis et besoins, de demander à ce que vos attentes soient satisfaites, et à tout faire pour qu’elles le soient. Au passage, cela peut aussi vous aider à changer le monde, même si au départ c’est pour des raisons de convenances personnelles : ce qui est bon pour vous l’est aussi en général pour les autres !

Les inconvénients de votre attitude : Il y a des défauts dans votre cuirasse, vous en êtes parfaitement conscient(e). Du côté, par exemple, de l’égoïsme ou de la mauvaise foi. Mais aussi du côté de la déception: il peut vous arriver de passer de l’amour au désamour et à la colère contre vous-même. De vous en vouloir à l’excès, d’avoir envie de vous faire du mal.

Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.

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Quel plaisir d’être soi ! De vivre le grand amour avec sa petite personne ! De se sentir bien lorsqu’on pense à soi, lorsqu’on se regarde dans le miroir, qu’on fait le bilan de ses actions. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Au contraire, c’est le meilleur socle possible pour que le monde tourne rond. Si chacun se souciait davantage de vivre heureux en sa propre compagnie, que de conflits inutiles seraient évités ! Pourquoi diaboliser l’ego ? La fausse modestie et les altruismes en toc ou en névrose massive (s’occuper des autres parce qu’on est incapable de s’occuper de soi), cela vous agace.

Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

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Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.

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Au quotidien, vous considérez qu’il faut s’aimer, se protéger, se chouchouter. Sans culpabilité. Parce que la vie est dure, et qu’un bon ego permet de mieux lui faire face. Parce que se respecter soi-même, c’est le meilleur des tremplins pour respecter les autres et avoir la force et l’énergie pour les aider. Parce que, finalement, une pincée de narcissisme met du sel dans les rapports humains : que se passerait-il si personne n’avait d’avis ni de subjectivité ? Est-ce qu’on ne finirait pas par s’ennuyer ferme ?

Les bénéfices de votre attitude : joie de vivre et énergie. Une personnalité riche, présente, engagée, affirmée. Vous n’avez pas peur de faire entendre vos avis et besoins, de demander à ce que vos attentes soient satisfaites, et à tout faire pour qu’elles le soient. Au passage, cela peut aussi vous aider à changer le monde, même si au départ c’est pour des raisons de convenances personnelles : ce qui est bon pour vous l’est aussi en général pour les autres !

Les inconvénients de votre attitude : Il y a des défauts dans votre cuirasse, vous en êtes parfaitement conscient(e). Du côté, par exemple, de l’égoïsme ou de la mauvaise foi. Mais aussi du côté de la déception: il peut vous arriver de passer de l’amour au désamour et à la colère contre vous-même. De vous en vouloir à l’excès, d’avoir envie de vous faire du mal.

Un conseil : Bien sûr, vous avez intérêt à pratiquer régulièrement de petites cures d’oubli de soi (retraites spirituelles, temps offert à des associations caritatives), histoire d’éliminer les quelques ego-toxines qui s’accumulent avec le temps. Mais c’est comme pour la nourriture : il n’y a pas que les diètes, il y a aussi les partages ; vous qui connaissez l’intérêt d’un bon ego bien nourri, nourrissez aussi celui des autres, en les félicitant, les encourageant, les valorisant. Exportez et partagez votre savoir-faire : votre entourage aussi est avide d’estime de soi ! C.A.