The Black keys [*]

The Black keys est un groupes de jeunes qui sonne vieux...et ce n'est absolument pas péjoratif !!

c'est un groupe de Blues Rock originaire de l'Ohio.

il est composé de deux membres : Dan Auerbach et Patrick Carney respectivement chanteur/guitariste et batteur.
Les sonorité de ce groupe rappellerons à certains celles des Whites Stripes, d'ailleurs, notre ami Wkiped' nous dis ceci :

"Les Black Keys sont souvent comparés avec le groupe The White Stripes parce que tous deux sont des duos influencés par le blues rock ayant émergés à quelques mois d'intervalle. Pourtant, le son des Black Keys est beaucoup plus enraciné dans le blues traditionnel et moins pop rock que celui des White Stripes."

Discographie :

The Big Come Up - (2002)
Thickfreakness - (2003)
Rubber Factory - (2004)
Chulahoma, The Songs Of Junior Kimbrough (2004)
The Magic Potion - (2006)
Attack & Release - (2008)

Your Touch :



Strange Times (le clip est amateur, mais la musique c'est la vraie^^):

excellent, Attack and Releases que j'ai découvert dans l'album de la semaine sur canal+...
Strange Times est la première que j'ai entendu est j'ai adoré vous pouvez pas imaginer..

Est-ce ta préféré de l'album ?

Une de mes préférées, mais je ne connais pas très bien l'album mais je l'écoute de temps en temps sur deezer, j'aime bien Ocean and Streams aussi...
mais il faut que je me l'achète ce disque..

Citation :

Une de mes préférées

On fait des bébés ?

Oui, achéte le ! c'est plus mieux...deezer ça va cinq minutes !!!

c'est clair, je suis pas un adepte de deezer, mais plutôt de Windows media avec mes disques à moi dessus. C'est plus mieux....

Citation :

Windows media

beuuurrrkk !

Vive I-Tunes !!! ^^
Moi je fais pareil, je flanque tous mes albums sur mon lecteur...ce qui est relativement con, ça me prend de la place pour presque rien finalement. ^^

chacun son truc...

Si quand je raconte ma vie ça t'emmerde, tu te tais et tu fais comme si c'était passionnant ok !?!!

La vie de Patronne est incroyable, ouah...


c'est bien là ?

Quitte à choisir sous Windows, je préfère Media Player.
iTunes est d'une lourdeur incroyable -_-

Rykian a écrit:

Quitte à choisir sous Windows, je préfère Media Player.
iTunes est d'une lourdeur incroyable -_-

ho toi le geek, pchiiiii ! file !!!!

http://www.lerock.org/photos.html





It was so good!!

En plus, j'étais carrément bien placé, un de mes meilleurs concerts au RDTSE assurément.

Si tu savais à quel point je te hais !

Putaing, c'est des bonnes photos en plus !!! euh... c'est toi qui les a prises ?

Nanan, c'est de professionnels qui bossent pour le festival, j'ai mis le lien où je les ai chopées.

Moi j'étais en train de me faire plaisir dans la fosse, à peu près au niveau de la jeune filles qui emmerdait le monde assise sur les épaules de son pote qu'on peu vaguement voir sur la seconde photo en plein centre.

Ca donne la pêche !

Je me régale en découvrant les titres du nouvel album (dont Lonely boy)




http://rocknfolk.com/site/disquedumois.php

Citation :

LES DISQUES
DU MOIS





The Black Keys
“El Camino” Nonesuch/Warner

Célébrer les Black Keys, en voilà une lumineuse idée. Il était temps, même, tant la carrière du rugueux duo venu de l’Ohio aurait pu sombrer dans l’ombre des terrifiants White Stripes. Dan Auerbach (chant, guitare, barbe blonde) et Patrick Carney (batterie, lunettes carrées, allure de geek dégingandé), comme Jack et Meg, étaient aussi d’exigeants puristes, capables d’enregistrer entre deux albums d’un rigoureux garage-blues, sans basse ni claviers, un EP hommage à Junior Kimbrough. Le précieux combo demeurait ce trésor caché, appelé à devenir, comme on le dit, culte. Pas de “Seven Nation Army” à l’horizon. Mieux encore, Auerbach avait même produit, idéale trajectoire, quelques nouveaux renégats de l’Amérique hirsute : les fantastiques Brimstone Howl, Buffalo Killers, les très hendrixiens Radio Moscow ou encore Black Diamond Heavies. En 2008, rupture, ce fut l’ascension progressive. Revenus avec Danger Mouse (pote de Damon Albarn et moitié de Gnarls Barkley) dans leur sillage et l’envie de conquérir les charts, les Black Keys ont fait lever, chez leurs fans, plus d’un sourcil circonspect. Le résultat, “Attack And Release”, était une tentative mitigée de sonner plus contemporain et, fatalement, moins blues. Après quelques nouvelles fantaisies, en solo (le rupestre “Keep It Hid” pour Auerbach, fondation de Drummer pour Carney) ou pas (l’inepte projet Blakroc, expérience rap-rock), les deux potes d’enfance sont réapparus fringants, gonflés de roboratives influences funk et Motown : “Brothers” a été la preuve immaculée de cette mutation, explosion mainstream et grand disque de soul blanche suintant la moiteur analogique des studios Muscle Shoals. Succès planétaire, hype, Grammy Awards. “El Camino” était donc fébrilement attendu. Transforme-t-il l’essai ? Artistiquement oui, sans aucun doute. Annoncé comme un retour au rock and roll, “El Camino” tente en fait une excellente fusion, reprenant les options chaloupées du précédent album (chœurs féminins, basse épaisse, orgue vibrionnant) tout en adoptant un tempo plus enlevé, un son plus sauvage. La quasi-totalité de la face B est ainsi toute de groove méchant et de nonchalance lascive, façon “Miss You” des Stones : “Sister”, “Stop Stop”, ou la conclusive “Mind Eraser”. Plus remarquables encore, il y a ces moments où les Black Keys durcissent vraiment le ton. Sur “Gold On The Ceiling”, par exemple, bélier hard rock aux cornus phrasés évoquant le légendaire solo de Keith Richards sur “Sympathy For The Devil”. Ou “Little Black Submarines” qui pourrait être le “Stairway To Heaven” des natifs d’Akron : folk acoustique, puis décollage heavy et tornado instrumental. D’autres titres sont même totalement inhabituels comme “Money Maker”, œillade garage survoltée, tronçonnée par un break tonitruant mêlant wah-wah et talk-box, ou bien “Nova Baby”, ultime chef-d’œuvre du disque. Cette pépite immédiate livre une surprenante lecture des Evangiles selon Black Francis : orgue vaporeux, mélodie onirique, solo cosmique. Un sans-faute. On espérait beaucoup et “El Camino” ne déçoit donc pas. Avec la voix immédiatement reconnaissable d’Auerbach, ce sens du refrain contagieux et cette pureté stylistique, nous tenons peut-être là le Creedence Clearwater Revival de l’époque. Ramassé, constamment inspiré, ce disque installe définitivement les Black Keys dans la cour des très grands.

mes morceaux préférés

Attack and release, j'adore cet album !

Ouaip, il et excellent. Mais El Camino est franchement bon aussi. Mais encore un peu easy listening, comme Brother. Mais ça reste de la bonne. ^^