La phobie sociale (ou sociophobie)

Votre score total compris entre 0 et 84 est de : 11 points
Votre score total est compris entre 10 et 29 :
vous ressentez de temps en temps une légère anxiété face aux autres. Cette réaction est normale, mais elle peut gâcher certains de vos contacts sociaux, surtout si vous avez plusieurs fois mis des notes de 2 ou 3.

Citation :

Heu...j'ai pas de score entre 42...je fais quoi?

Parce que ton score d'évitement est trop bas peut être. Déjà que t'as que 9 en score total, c'est peut être pour ça. Tu es donc socialement adapté, toi.

Shon' a écrit:

Tu fournis la chaise et j'te la passe au cou?

Ah non, ça m'en fera deux !

Gné ?

Adarkar a écrit:

Votre score total compris entre 0 et 84 est de : 11 points
Votre score total est compris entre 10 et 29 :
vous ressentez de temps en temps une légère anxiété face aux autres. Cette réaction est normale, mais elle peut gâcher certains de vos contacts sociaux, surtout si vous avez plusieurs fois mis des notes de 2 ou 3.

Idem au niveau du score.

Up, je m'emmerdais, j'ai fait ce score:

Citation :

Votre degré de peur

Pour connaître l'importance de votre peur des autres

Votre score total compris entre 0 et 84 est de : 72 points

Mouais, en tout cas ça reflète mon sentiment.

Mais en fait je uppe parce que j'ai une question: est-ce que le fait de se savoir sociophobe peut amener un sentiment de complaisance (même involontaire), une appellation qui deviens une sorte de défense?
Comment vous le vivez, vous, chers amis sociophobes?

Deuxième question: j'ai relu la définition donnée par Alva/Salem, et je trouve qu'il est assez facile de s'y identifier, même si on va relativement ou parfaitement bien. Existe-il une définition plus approfondie?
(Je sais, un psy me donnerai la réponse. Me donnerai.)

Bref, le sujet m'intéresse, et je regrette de ne pas avoir répondu plus tôt à ce topic.

Citation :

Mais en fait je uppe parce que j'ai une question: est-ce que le fait de se savoir sociophobe peut amener un sentiment de complaisance (même involontaire), une appellation qui deviens une sorte de défense?

Oui, je pense que oui.
En tout cas moi à un moment donné ça me l'a fait...je me disais que de toute façon j'étais malade et que je pouvais rien y faire, et que donc faire des efforts était inutile. C'était pas vraiment de la complaisance, mais plutôt du défaitisme que j'essayais de vivre au mieux. Mais quelque part ça devient un excuse, une façon de se défendre face aux difficultés et au critiques des autres, t'insiste sur le mot "maladie" pour que les gens arrêtent de te traiter de feignant ou de trouillard. Quelque part c'est vrai, t'y est pour rien, mais c'est pas non plus une raison pour ne pas essayer de faire des efforts, même si ça te fait peur, tellement peur que les autres ne peuvent même pas imaginer à quel point.
Bref, se victimiser n'est pas la solution, mais à un moment donné tu passes forcement par là je pense.
Du coup, je pense que le mieux c'est qu'une fois le diagnostic posé, faut entamer tout de suite une thérapie pour avancer au plus vite...pas faire comme moi, en se barrant avant et en restant dans sa merde.

Citation :

Deuxième question: j'ai relu la définition donnée par Alva/Salem, et je trouve qu'il est assez facile de s'y identifier, même si on va relativement ou parfaitement bien. Existe-il une définition plus approfondie?

Ouais, c'est comme celle pour le trouble bipolaire ou borderline...on peut tous s'y reconnaître sans pour autant l'être. La seule définition valable elle est donnée via le diagnostic fourni par un professionnel, je vois franchement pas mieux.

Merci pour tes réponses. ^^
En fait de façon plus large je me demande quel effet le diagnostique peut avoir, et plus personnellement: si je vais parler de mes problèmes a quelqu'un, je me dit que poser une étiquette sur mes désordres mentaux, ben ça ne m'aidera pas vraiment à autre chose que dire: "je vous l'avais bien dit, que j'étais malade!".

Petit UP pour faire un bilan depuis euh...2011.

Je dirai que depuis y'a eu plusieurs deux grandes phases très distinctes (dans lesquelles y'a eu des mini périodes de up et down) :
- Post voyage Canada : Youpi je vais trop bien je suis guérie, j'arrête mon traitement, j'ai un syndrome de sevrage qui me rend ouf mais OSEF parce que je vais bien.
- Quasi un an après, big down, retour en dépression et PS, trouble panique, la vie sa pue toussah, mais je veux plus voir de psy samayre.

Conclusage : 1/ Un up ça veut pas dire qu'on est guéri 2/ arrêter brusquement son traitement c'est 100% débile.

Et présentement, mon cas s'est "aggravé" avec le temps parce que j'ai voulu me la jouer "les psy cay pour les faybles" so incapable de vivre "normalement", humeur qui fait des vagues et comportements à risques tout pourris.

Conclusage : Maintenant je me tape un traitement d'AD en dose maxi, du tranzène matin et soir, du bromazepam à la demande, et des RDV psy toutes les semaines...pas que je me plaigne hein, mais si j'avais su bah j'aurais pas fait ma warrior. Alors copaing, si toi aussi tu as mal à la vie, ne laisse pas traîner les choses en imaginant que ça va s'arranger comme par magie. 

Et donc pour répondre, certes en retard, à ça :

Citation :

si je vais parler de mes problèmes a quelqu'un, je me dit que poser une étiquette sur mes désordres mentaux, ben ça ne m'aidera pas vraiment à autre chose que dire: "je vous l'avais bien dit, que j'étais malade!".

Non, tu va pas voir un psy-quelque chose pour avoir uniquement un diagnostic qui foncièrement ne sert à rien, sauf a) à te rassurer b) à te déprimer encore plus. Tu y va pour avoir un diagnostic sur lequel on peut engager une thérapie médicamenteuse et/ou verbale pour se soigner. 
C'est là où j'ai été conne, un psy faut aller le voir quand on se rend compte que ça va vraiment pas mais qu'on a la volonté de sans sortir, faut vraiment cette volonté parce que c'est une démarche difficile qui fait mal à l'ego, mais c'est une démarche nécessaire quand ton cerveau se la joue BSOD.

Voila, j'espère que ce petit témoignage sera utile à ceux qui sont dans le doute ou dans le même cas, et je suis pas contre un petit bilan de vos propres expériences aussi.

Bin moi les psy je les côtoies dans le cadre du boulot pour orienter les pratiques alors... Je suis un peu de "l'autre côté du miroir"...  

Citation :

se la joue BSOD.

Gné?

Ouais, et bien en attendant j'en ai pas besoin (j'ai trouvé toute seule des parades qui font que je peux réussir à contenir mes crises d'angoisse sans pour autant me terrer chez moi, donc ça va, - ça veut pas dire que tout va bien, le monde est beau, les papillons, toussah, mais j'ai pas vraiment le choix pour l'instant) et j'en ai pas les moyens, la question est donc réglée pour l'instant.

(et j'insiste bien sur le "pour l'instant", je suis pas en mode "wesh les psys ça pue et j'en verrai jamais", juste que là, c'est pas la peine et pas envisageable, tout bêtement, et que j'arrive à aller mieux sans, toute seule, simplement parce que j'ai deux buts à atteindre et que ça m'aide beaucoup à ne pas sombrer davantage - je suis pas guérie ou en train de guérir, j'ai juste trouvé un moyen de rester sur une ligne stable, le principal dans l'immédiat pour moi c'est que ça n'empire pas.).

Eh oh! Le test m'accuse de menteuse!

Test a écrit:

Votre score total est inférieur à 10 :
vous semblez ne jamais éprouver la moindre gêne devant les autres. Êtes-vous bien sincère avec vous-même ? A moins que vous ne soyez un mutant dans l'espèce humaine !

Je fais du théâtre :p ça serait con d'avoir une gène devant les autres!

Keagan a écrit:

Citation :

se la joue BSOD.

Gné?

Geek en carton ! Blue Screen of Death.

Sinon ça ne s’adressait pas spécialement qu'à toi Kea, sauf la partie où je répond à ta question. J'ai l'impression que tu l'a mal pris.

Non, ça, je le prend pas mal en soi, je répond juste en donnant mon point de vue. Tu me dis "un psy ça sert à ça ça ça", je te réponds "pour l'instant je sais bien mais j'en ai pas besoin et je suis pauvre". Ça s'arrête là.

Et en plus te me répond à un truc que j'ai dit y'a bien un an voire deux, et même si je le pense toujours, mon avis à quand même un tout petit peu évolué, et je sais bien quel est le rôle du psy dans ce cas.

Tu serais pas un peu marseillaise ?

1 ou 2 ans...

"Mer 27 Fév 2013 - 12:54"

On peut faire pire comme temps de réponse.

Y'a pas l'année de notée, juste mer 27 février. J'ai en tout cas pas l'impression d'avoir dit ça cette année et osef, ça fait de toute façon loin dans le temps.

Oui ok. 

[HS]
Juste doit y'avoir un problème technique parce que moi j'ai l'année.

Spoiler:

Cay pas normôl...

Faut régler dans les préférences du profil.

Je dois avouer que les résultats et conclusions de ce test sont plutôt justes

Citation :

Votre degré de peur
Votre score total compris entre 0 et 84 est de : 33 points
Votre score total est compris entre 30 et 50 :
vous paraissez redouter de nombreuses confrontations avec les autres et vous semblez en souffrir. Et si vous songiez à résoudre votre problème d'anxiété sociale ?

Votre réactions de peur
Votre score « anxiété » compris entre 0 et 42 est de : 15 points
Votre score « évitement » compris entre 0 et 42 est de : 18 points
La différence entre votre score « anxiété » et votre score « évitement » est de : -3 points
Votre score « anxiété » est à peu près équivalent à votre score « évitement » (à 5 points près) :
vous tentez de faire face aux situations de contacts avec les autres, même si vous n'êtes toujours très à l'aise Mais attention, car parfois vous y renoncez. C'est dommage car cela risque, d'une certaine façon, d'entretenir votre peur.

Votre type de peur
Vos notes les plus élévés (anxiété ou évitement) concernent surtout les situations n° :
4, 8 et 12.
ce qui vous gêne le plus, c'est de vous imposer face aux autres. C'est-à-dire de faire valoir vos droits, de défendre vos opinions.

Azède, j'ai fait du théâtre aussi, ça n'est pas incompatible avec la gêne face à l'autre.
Jouer un rôle et être soi-même n'ont rien à voir. D'ailleurs pour me donner une assurance je joue finalement très souvent un rôle dans la vrai vie...

Le psy j'y ai pensé à un certain moment de ma vie. Mais je n'ai jamais réussi à franchir le pas. Parce qu'aller déballer mon intimité à un médecin ne m'enchantait guère, parce qu'il y a un espèce d'orgueil à se dire qu'on peut s'en sortir seul.
Au final j'ai réussi à trouver des réponses et des hypothèses à mes maux, mais parce que l'origine et mon cas était documentés et que j'ai pu trouver des textes dans lesquels je me suis reconnu.

kyungjin a écrit:

Parce qu'aller déballer mon intimité à un médecin ne m'enchantait guère, parce qu'il y a un espèce d'orgueil à se dire qu'on peut s'en sortir seul.

Que voilà un fantasme qu'il faut absolument exorciser.
Ce foutu complexe de la blouse blanche peut être très trompeur. D'une part, parce que tous les psy ne sont pas des médecins. Les psychiatre ont une formation médicale, c'est à dire qu'ils étudient en fac de médecine et non en fac de psycho, et se spécialisent en psychiatrie à la fin de leur cursus. En revanche, les psychologues ne sont pas des médecins, ils font une fac de psycho, ne sont pas forcement doctorant, et surtout ne diagnostiquent et ne prescrivent pas. Ils ont plus un rôle de conseil et d'orientation. Bref, ce sont des personnes ayant des connaissances des "mécaniques" mentales et affectives qui tentent d'apporter ces connaissances pour "éclairer".

Après, on a aussi le cas particulier de la psychanalyse. Il n'y a aucun statut dans la fonction de psychanalyste. C'est une approche théorique du psychisme et des liens entre le conscient, l'inconscient... Bref, c'est une théorie qui tente de donner un schéma du psychisme et des "mécanismes" psychiques. Elle peut aussi bien attirer un psychologue qu'un psychiatre, mais ont peut aussi lui préférer une autre approche. Quand à savoir si c'est une science...

Moi j'ai jamais l'année, ça dois être ton privilège de Patronne.

J'ai dit médecin par raccourci facile.
Le truc c'est que déballer mon intimité ou mes sentiments profonds à quelqu'un qui est censé les décortiquer ça me tente moyen.

Pour Keagan : https://forum-eclectique.forumactif.org/t3745p15-date-des-posts

Je m'incruste et viens apporter ma patte au sujet.
Je suis concernée par la phobie sociale depuis pas mal de temps. J'ai toujours été assez timide, plutôt réservée, un peu flippée des gens (je détestais passer à l'oral, faire un exposé ou ce genre de truc) et ma phobie sociale s'est vraiment "déclarée" à mes 16 ans, en même temps que ma phobie scolaire.
Au fil du temps, l'école me faisait peur, me rendait malade et les gens qui y était aussi. Je panique quand je dois me mélanger aux autres, surtout quand je ne les connais pas. Quand je vais à la rencontre d'une ou deux personnes que je ne connais pas, je suis un peu stressée mais je vais arriver à blablater un peu mais lorsque c'est une foule ou un groupe de personnes, je flippe.

Les situations qui me font le plus peur c'est celles où j'ai peur de ne pas être à la hauteur ou celles qui nécessite une hiérarchie. Par exemple, aller à un entretien ça me fait stresser (et j'en ai annulé plus d'un...), être embauchée ça me fait paniquer, et aller travailler c'est presque au dessus de mes forces. C'est assez étrange parce que je suis souvent contente d'avoir trouver du travail mais une fois que j'y suis ou que je dois y retourner, j'angoisse et je fais des crises de panique.

Assez étrangement, je souffre de ne pas avoir d'ami(e)s dont je suis proche, et j'ai remarqué qu'inconsciemment (à cause de ma timidité) je mettais un peu de distance. Et puis, on m'a souvent fait la remarque comme quoi j'avais l'air hautaine... Ça m'a surprise mais d'un côté j'ai souvent évité le contact et le mélange avec les autres donc j'imagine que ça peut porter à confusion.
D'un autre côté, j'apprécie aussi la solitude, j'aime bien avoir des moments à moi toute seule.
Paradoxe, bonjour.

Bon malgré ça, je me soigne.

k a écrit:

Azède, j'ai fait du théâtre aussi, ça n'est pas incompatible avec la gêne face à l'autre.
Jouer un rôle et être soi-même n'ont rien à voir. D'ailleurs pour me donner une assurance je joue finalement très souvent un rôle dans la vrai vie...

Effectivement! En tout cas ça a marché pour moi, avant j'avais de l'appréhension à faire un oral etc., mais en multipliant les situations de parole en public j'ai plus du tout de trac à part un espèce de sentiment d'euphorie assez agréable.

Lenoush a écrit:

Assez étrangement, je souffre de ne pas avoir d'ami(e)s dont je suis proche, et j'ai remarqué qu'inconsciemment (à cause de ma timidité) je mettais un peu de distance.

Je pense que la timidité est une conséquence d'autre chose, voire un prétexte, et non une cause.
J'ai moi aussi pendant longtemps été incapable d'avoir de vrais amis sur la durée. J'ai réalisé récemment que la cause était certainement tout autre qu'une simple timidité : trouble de l'attachement, ce genre de chose.
Bon, ceci est mon expérience personnelle.

kyungjin a écrit:

Lenoush a écrit:

Assez étrangement, je souffre de ne pas avoir d'ami(e)s dont je suis proche, et j'ai remarqué qu'inconsciemment (à cause de ma timidité) je mettais un peu de distance.

Je pense que la timidité est une conséquence d'autre chose, voire un prétexte, et non une cause.
J'ai moi aussi pendant longtemps été incapable d'avoir de vrais amis sur la durée. J'ai réalisé récemment que la cause était certainement tout autre qu'une simple timidité : trouble de l'attachement, ce genre de chose.
Bon, ceci est mon expérience personnelle.

Oui tu as sûrement raison.
J'ai eu de vrais amis, mais très peu. Je pense à mon ancienne meilleure amie (nous n'avons plus vraiment de contact) avec qui j'avais une relation assez particulière, plutôt fusionnelle et exclusive. Je pense que dans certains cas ça peut vraiment être sympa (les relations à la "Friends" où les personnes sont très très proches) mais dans notre cas, c'était devenu assez malsain. Elle ne supportait pas la solitude et réclamait toujours de l'attention de ma part. Elle était même devenue jalouse lorsque j'avais eu mon copain de l'époque (et n'a jamais aimé mes copains, bizarrement). De mon côté, je me "laissais marcher dessus", elle parlait, je l'écoutais, et ne lui confiais rien de ma vie personnelle (ceci dit, elle ne me demandais jamais rien non plus). Pourtant nous avions beaucoup de goûts en communs, et on rigolait beaucoup, mais c'était vraiment bizarre comme relation. Nous avions eu une énorme dispute d'ailleurs, parce que je n'en pouvais plus, j'avais l'impression que nous étions mariées...
Nous avions toutes les deux des problèmes du côté social.  

Enfin bref, tout ça pour dire que d'un côté le fait d'avoir une ou des amies proches me manque énormément, je me sens assez seule en fait. Mais de l'autre côté j'aurais peur que ça tombe dans quelque chose de malsain, comme je l'ai vécu.
Et parfois, je me demande si les relations que j'ai eu (beaucoup trop fusionnelles) où que j'ai actuellement (assez "légères") sont les conséquences de mes difficultés sociales, sont de ma faute en fait.
Actuellement, j'ai quelques connaissances mais je ne saurais pas dire si ce sont des amies ou pas. J'ai du mal à appeler, à dire "on se voit demain ?", j'ai peur qu'on ne veuille pas de moi. Et puis je me sens souvent exclue (mais peut être est-ce de ma faute ?). Par exemple, un jour où on s'est toutes vues (on était 6), une des filles était en train de raconter un de ses soucis concernant son copain, sauf que je suis arrivée en fin de conversation et que j'avais rien suivie. J'ai juste demandé, en gros, de quoi elle parlait et elle m'a répondu : "non de rien du tout".
Tout le monde était au courant sauf moi. Et le midi, elle parlait de ça et je me sentais complètement à la ramasse. Ça m'a vexé quelque part. Mais je me remets en question aussi. Est ce que c'est moi qui met de la distance et du coup, forcément, on a pas spécialement envie de me parler parce que je donne l'impression de ne pas être intéressée ?
Je ne sais pas.

Pavé du jour, bonjour. Désolé.