Essais d'écriture d'un roman avec pour sujet le monde de warhammer

Bon je poste un premier passage sur une histoire que j'essaye d'écrire et qui se déroule dans le monde de warhammer battle.

La nuit venait de se coucher. Les premières lueurs du jours commençaient a inonder la plaine, lueurs filtrée par de lourds nuages noirs. Son visage était balayé par le vent frais du matin accompagné d’une fine pluie qui humidifiait ses longs cheveux blond. Encore une belle matinée de massacre s’annonçait. Agandir observait la scène qui s’étalait devant lui. Une autre tribu des barbares du nord se préparait à affronter le plus grand chef barbare que les Désolations du chaos n’aient jamais connu.
- Loknar ! dit-il de sa voix calme et chargée de haine à la fois.
Un gigantesque homme brun s’approcha d’Agandir. Il ne portait qu’un pantalon en peau laissant ainsi saillir sont buste et sa musculature témoin de multiple bataille auprès de son chef :
- Vos ordres ?
- Fait préparer le premier groupe. annonça-t-il enfin. Leurs consignes sont simples. Ils doivent engager le gros de l’armée adverse au centre comme si nous allions y envoyer toutes nos forces. Je veux que tu prennes la tête de ce groupe et que tu crée la panique chez nos ennemis. Je te rejoindrais avec tout nos hommes au moment crucial sur leur flanc droit.
Loknar laissa apparaître un immense sourire au travers de sa figure, porteuse d’une cicatrice qui traversait son œil gauche. Agandir n’eût pas besoin de demander si son lieutenant avait compris les ordres, Loknar était suffisamment intelligent pour comprendre qu’il allait pouvoir trancher quelques membres.
Pour la première fois depuis des années de combats et de massacre dans les Désolations, Agandir se sentit las. Il n’était plus motivé. Ces combats qu’il savait gagnés d’avance le fatiguaient. Il ne rejoignait plus ses hommes après la bataille pour fêter cela dignement, avec du vin et des femmes qui étaient celles des guerriers qu’il avait tué. Sa suite de victoire lui avait pourtant amené tout ce dont un barbare du nord puisse désirer. Beaucoup de richesses, une gloire sans précédent et le respect de milliers de guerrier avides de sang et de conquêtes. Non, cela ne lui plaisait plus ou du moins ne lui suffisait plus. Il voulait plus. De plus grand massacre, des richesses toujours plus grandes et nombreuses, des femmes plus belles qu’il ne pourrait l’imaginer et toujours plus de gloire et de puissance. « Pourquoi ne pas attaquer l’empire ? » se surprenait il à dire parfois. Mais les rares héros du nord qui ont réussi à rallier une armée suffisamment puissante pour une telle attaque ont échoué et même perdu la vie. A quoi bon en arriver a ce point.
Une voix en bas de la colline le sorti alors de ses pensées. Une voix d’un homme qui l’insultait.
- Quel est l’impétueux ou le fou qui ose me parler ainsi ? Donne ton nom fils de chien ! Ordonna-t-il a un futur esclave.
- Je suis Ngrax, fils de Norlem. Ta venu ici ne nous plaît pas. Au nom de Khorne nous vous tuerons jusqu‘au dernier. Une foule de guerrier hurla son approbation tandis que Ngrax se tournait vers eux et les encourageait à hurler de plus belle.
- Ou bien tu es fou, ou alors tu es un ignorant. Sais tu à qui tu parle ?
- Peu m’importe à qui je parle. Par contre quand je saurais qui tu es je pourrais mettre une pancarte au côté de la pique qui supportera ton crâne fraîchement arraché.
- Je suis Agandir. Et lorsque je te trouverais en face de moi, je ferais en sorte de ne pas te tuer tout de suite pour que tu me vois pendant que je violerais ta femme et tes filles. Un rugissement éclata de derrière lui. Il se tourna estimant qu’il n’y avait pas besoin d’en rajouter. Cet homme n’en valait pas la peine.
- Loknar ! Rugit-il. « Changement de plan je prend la tête du premier groupe. Tu iras avec les cavaliers pour leurs rentrer dans les côtes. Tu m’a compris ? Je tiens a régler cet affront dans le sang. J’ai envie de massacre. » Loknar n’était pas ravis de la nouvelle mais il était sous les ordres du plus grand chef du nord, il ne pouvait qu’obéir ou subir son courroux et aucun homme ne souhaiterais subir ce sort infâme à moins de vouloir mourir de la pire des façons.
Sa cape en peau de bête flottant dans le vent, il rejoignit ses hommes, haches et épées sorties. Il prit sa propre hache qui avait goutté au sang de centaines d’hommes, d’enfants et de femmes. Il se tourna alors vers ses hommes et rugit :
- Aujourd’hui le sang coulera et nous nous en nourrirons comme le désir les dieux, qu’ils nous bénissent et nous accorde une partie de leurs pouvoirs. Pour Khorne nous verserons le sang et ramènerons les crânes des vaincus pour agrandir son trône. Pour Tzeentch nous brûlerons leur village. Pour Nurgle nous les laisserons pourrir sur un tas de fumier. Et pour Slannesh nous nous adonnerons a l’ivresse du plaisir de la victoire et de ses trophées.
Son unité récita alors les noms des quatre dieux principaux qu’ils louaient et finirent par hurler un long et sonore cri de guerre qui résonna sur toute la plaine.
Agandir lança alors l’ordre d’attaquer et une bonne centaine de barbares se lança alors a sa suite avide de sang et mort. En face Ngrax toujours furieux des paroles de son rivale tomba dans le piège et élança ses troupes contre celle d’Agandir. A quelque seconde du choc, il raidit ses muscles, serra sa fidèle hache de toutes ses forces, regardait le guerrier le plus proches et donna un premier élan a son arme. Le choc fut d’une extrême violence. Une dizaine de ses guerriers tomba a ses côtés s’écrasant lourdement à terre alors qu’il avançait dans le flots d’hommes qui barrait le chemin jusqu’à Ngrax. Sa soif de sang était impossible a étancher, pas tant que celui qui l’avait insulté n’était pas mort.

Loknar observait la scène depuis l’orée de la forêt qui présentait le flanc des forces ennemies. Pourquoi devait-il rester avec ce groupe de cavaliers ? Il n'y a pas tête à couper, de buste à lacérer en attendant le bon moment comme il le faisait. Il fallait attendre le signal du chef pour pouvoir se lancer à l'attaque. Les guerriers s'impatientaient derrière lui.

- Qu'est ce qu'on attend ? Pourquoi le chef est pas avec nous ?

Le plus puissant d'entre eux parlait avec un excès d'assurance à Loknar. Cela ne lui plaisait guère.

- Le chef m'a envoyé ici pour être à votre tête. Il veut régler un différent avec l'autre fils de chienne. Il n'aime pas se faire insulter.

La colère paraissait dans sa voix. Et moi non plus je n'aime pas cette insulte se disait il à lui même. Loknar était bien connu de toute la tribu, mieux valait ne pas aller contre sa volonté lorsqu'il était furieux.

Finalement le signal de l'attaque fût lancé. Les hommes trépignaient mais Loknar avait décidé qu'ils n'attaqueraient pas. Qu'Agandir se débrouille tout seul !

- Loknar le signal a été lancé ! Qu’attendons-nous ?

- Nous n'attaquons pas. Les hommes se regardaient entre eux, stupéfait que Loknar puisse désobéir.

- Es tu fou Loknar ? Agandir te tuera pour le plaisir !

- Agandir aura le courage de me tuer parce que ses hommes sont fidèles. Par contre si il se retrouve seul, comment pourra t'il me tuer ?

- Insinuerais tu que tu va tenter de prendre sa place ?

- As tu un argument pour m'en empêcher ? Il plantait son regard dans celui de Mengir, champion d'Agandir. A moins que tu soit trop fidèle à ton chef pour m'en empêcher.

- Je t'en empêcherais par n'importe quel moyen !

Des voix s'élevaient pour le soutenir et d'autres pour s'opposer à lui. Deux groupes commençaient à se former. Mengir leva a nouveau la voix en regardant droit dans les yeux Loknar :

- C'est ta dernière chance pour lancer l'assaut dans la bataille ou bien je serais obligé de te tuer.

- Tu n'es pas assez fort pour cela. Je t'écraserais, je t'étriperais.

- Qu'il en soit ainsi.

Les cavaliers se jetèrent les uns sur les autres. Loknar s'élança immédiatement sur Mengir. Sa hache fit une courbe du haut vers le bas. Mengir para d'un geste efficace de côté, retourna sa prise sur la hache et frappa dans l'autre sens. « Voila pourquoi il est le champion » se disait Loknar, « mais les dieux ont prévus de grandes choses pour moi. Je ne peux pas mourir de la main de ce mortel. Et les dieux sont capricieux ».

Voila bonne lecture. ^^

J'ai apprécié. Pour l'instant je peux pas vraiment en dire plus. Mais j'attends la suite ^^.

hello,

Perso j'aime bien aussi mais y a juste un truc qui me dérange, ce sont les temps employés pour les verbes.

C'est sympa, y'a des fanfics sur le même sujets sur des sites por warhammer, tu pourrais essayer de le poster la dessus

La suite!! On est en attente là! Non mais dit! Après c'est les L qu'on traite de...

Citation :

Perso j'aime bien aussi mais y a juste un truc qui me dérange, ce sont les temps employés pour les verbes

Le chipotage

Et sinon tu as aimé ce que tu as lu ?


Moi beaucoup, j'attend une suite. Tu va poster sur Fanfic ?

Après un peu d'attente et un mitraillage d'une personne pour que je mette la suite, voici la suite du récit.






Dans le warp, la dimension
chaotique des dieux, lieux de changements et de mutation perpétuelle, dernier
habitat des âmes maudites, une entité puissante observait le combat. Il sondait
les différents futurs, il changeait le destin de ses pions, il s'amusait avec
les âmes. Mais aujourd'hui il ressentit la palpitation d'un esprit. Celui de
Loknar. Il ne devait pas mourir maintenant. Non, ce destin là ne favorisait pas
le jeu qu'il avait mit en place. Mengir ne peut pas gagner. D'un seul geste de
sa volonté un autre destin était tracé. Il sourit et s'amusait de sa fourberie.


Mengir exultait de pouvoir tuer Loknar d'un seul revers
de hache, seulement il reçu un coup en pleine tête. Il fût sonné, l'espace d'un
instant, ce n'était pas la première fois qu'il recevait un coup. Mais ce laps
de temps lui fut fatal. Loknar dans un grand rire abattis sa hache en travers
du corps de son adversaire. Elle le traversa du haut de l'épaule gauche
jusqu'au côté droit de sa victime qui s'écroula au bas de son destrier dans une
marre de sang. Mengir venait de mourir par le caprice d'un dieu. Les guerriers
fidèles à Agandir tentèrent de s'échapper vers la bataille ou dans la forêt,
mais Loknar ne l'entendait pas comme ça. Ils furent tous rattrapés et anéantis
par ses propres guerriers.

Il contemplait le massacre en souriant, quand un de ses
hommes l'avertit qu'un cavalier réussissait à s'échapper. Il arracha une lance
planté dans un cadavre et la lança en direction du fuyard. Cette dernière
atteint sa cible entre les deux omoplates. Le guerrier tenait encore droit sur
son destrier quand il atteignit le combat, il finit sur le sol a coté de sa
monture...

Agandir avait enfin atteint le coeur de la bataille et se
retrouvait enfin face à son adversaire. Il était au beau milieu d'un combat
avec plusieurs guerriers qu'il abattait un par un à l'aide de sa hache. Quand
il eu enfin fini il aperçu enfin Agandir et un sourire pervers se dessinait sur
ses lèvres, ravis de pouvoir enfin affronter son homologue adverse.

- Allez viens te battre comme un vrai guerrier !!
Rugit-il en direction d'Agandir

- Ma hache épanchera sa soif de sang avec le tien.

Ils se jetèrent l’un sur l’autre avec une fureur sans précédent.
Agandir s’amusait des passes que lui opposé son adversaire, il paraît juste les
attaques sans en lancer lui même. Cet excès de confiance mit Ngrax hors de lui.
Alors qu’il envoyé un coup de hache en direction de la tête de son ennemi pour
en finir, qu’Agandir s’empressa de parer, il envoya son poing au milieu de la
figure de ce dernier. Agandir recula sous l’impact, se redressa et toisa Ngrax
les yeux emplis de haine à son égard.

- C’est tout ce que tu peu me donner ? Tu n’es pas
capable de me tuer, tu n’es qu’un guerrier pitoyable. Comment as tu pu devenir
chef de cette tribu ? Il est temps d’en finir avec ta vie.

Agandir s’élança à nouveau dans le duel mais en attaquant
de toute sa force maintenant. Le style de combat trop inférieur de Ngrax fut
vite surpassé par celui de son adversaire. Il fut d’abord désarmé et ensuite il
eu un bras tranché à partir du coude et ce fut au tour d’un de ces genou d’être
brisé d’un coup du plat de la hache. Il s’effondra dans une mare de son propre
sang tandis qu’Agandir le regardait hurler de douleur en tenant son moignon
pour tenter d’arrêter l’hémorragie.

Le combat perdit alors en intensité. Les guerriers de
Ngrax se rendant pour servir leur nouveau chef. Ils se mirent aussitôt à rendre
les armes. Comme à l’habitude de la tribu, les blessés, les estropiés et les
mourants étaient achevé sur le champ car il n’était plus d’aucune utilité pour
les batailles à suivre. Seul Ngrax fut épargné pour le moment.

Alors qu’il pleurait à terre, Ngrax vit le vainqueur du
duel se pencher au dessus de lui :

- Toi tu ne meurs pas tout de suite, j’ai envie de m’amuser
avant ta mort. Les tortures que je vais t’infliger seront au nom de.....

Il n’eu pas le temps de finir de parler qu’une lance se
planta dans la poitrine de Ngrax.

- Tu n’auras pas ce plaisir Agandir. Loknar se dressait
au dessus du cadavre et toisait sont chef du haut de sa monture.

- Comment oses-tu ? La colère montée une fois de plus en
Agandir.

- Je viens laver l’insulte que tu m’as fait.

- Explique-toi Loknar avant que je perde patience et que
ma hache te sépare la tête du reste.

Un guerrier d’Agandir vint à lui et lui murmura quelque
chose à l’oreille. Il ne quittait pas Loknar des yeux. Alors qu’il finissait d’écouter
ce que disait son guerrier, ce dernier fut abattu sans autres forme de procès
par un partisan du second d’Agandir.

C’est alors que Loknar tira son épée et dit :

- Tu n’es plus notre chef à présent.

- Comme je m’attendais à ce moment. Tu ne pouvais pas
rester mon second longtemps, il t’en fallait toujours plus. J’aurais du te tuer
avec ton père au lieu de t’accepter dans cette tribu.

- Il est trop tard pour le regretter. Car maintenant tu
es mon prisonnier et tu va me servir pour honorer les dieux.

Un rire tonitruant s’échappa de la gorge de Loknar alors que les guerriers
fidèles d’Agandir était passé au fil de l’épée et lui même étant entouré de
trois guerriers pour le faire prisonnier.

- Cette nuit sera ta dernière mais aussi la plus longue
de ta misérable vie Agandir le destructeur.

Mitraillage??... N'importe quoi...

Bref. Ton texte est tellement imagé que ça rendrait bien en film. Au fil de la lecture, on voit vraiment les scènes dans une succession de plans.

Voilà et merci d'avoir posté la suite.

je l'avais oublié ce topic. Je m'étais régalé a éplucher des fautes ça et la.
Car du potentiel qui roxX, comme dit SVK, c'est bien imagé.


enfin, enfin, enfin

Il faudrait d'ailleurs que je poste enfin la suite de ce texte.

enfin ce ne serais pas trop tot

Mais il est bien ce texte !!! ça me rapelle un machin que j'avais écrit avec Keir. j'aime beaucoup, une bonne syntaxe, franche et direct. ça sent le peu de panda que je connais ( sorry pour la blagounette a Game, je suis un con, Keir a du te le dire ).


ENfin voila quoi

c'est pas mal !
le style est assez dépouillé et direct, mais ça se laisse lire avec plaisir.

Il va falloir que je poste la suite donc....

Trop bien vraiment mais tu pourrais peut être faire un peut plus de description des personnages et des lieux, sino bien vraiment j'attends la suite avec impatience.

Panda-Fehu a écrit:

Il va falloir que je poste la suite donc....

Ouais! Ca fait un moment qu'on l'attend

Voici la suite donc de mon récit.....


Un silence s’était épanoui sur la forteresse. Toute la journée on ne pouvait entendre aucun son. Ce lieu abandonner depuis longtemps était sombre et en ruine. La nature reprenait peu à peu habitat en cet endroit témoin de nombreuses batailles. Une grande tour s’élevé au dessus des murailles en ruine, elle était coiffé d’un toit qui s’effondré en certains endroit. Une fine couche de lichen recouvrait lentement la base de la tour et l’on pouvait apercevoir par endroit quelques restes humains seuls habitant de la forteresse. Deux comparses s’étaient basés ici pour contempler le butin qu’ils avaient pu dérober sur le chemin en volant les voyageurs.

- Merde, les voyageurs sont vraiment de plus en plus pauvres dans cette région. On trouve plus de collecteur d’impôts par ici.

Celui qui venait de parler était moyennement grand et sentait l’alcool à des lieux à la ronde. Son visage était couvert de saleté et ses vêtements étaient dans le même état que le lieu ou ils s’abritaient. Il portait un capuchon noir et des chausses en cuir qui était depuis longtemps ouverte à la semelle.

- M’en parle pas mon p’tit. Bandit de grand chemin c’est plus ce que c’était. Maintenant t’as plus besoin d’égorger les hommes pour leurs prendre leurs bourses et les femmes s’adonneraient presque à toi. A croire que les gens ont plus rien à perdre ici.

Cette homme était dans le même état de propreté que son ami et était recouvert aussi d’un capuchon noir, emmitouflé dans un cuir marron et avec des braies déchirés. Il était petit et un peu rondouillard. Alors qu’ils contemplaient leur maigre butin, la nuit descendait, étendant son ombre sur la forteresse. Ils allumèrent alors un feu car la température baissait rapidement, de la vapeur s’échappant désormais à chacune de leurs respirations.

- Par la comète à deux queues, t’as entendu ? Le plus grand des deux comparses tremblait de froid et de peur.

- Entendu quoi ? Y’a rien ici mon gars, arrête de tremblait sale poltron. Pourquoi je me retrouve toujours avec des bandits peureux ? J’aurais mieux fait de te laisser à....

Il ne finit pas sa phrase qu’il se dresse droit sur ses jambes son épée courte à la main.

- Ca je l’ai entendu par contre. Qui est là ?

Pas de réponse. Il observait l’obscurité. Un craquement. Son acolyte se senti au chaud tout d’un coup.

- D’accord... Bon le petit malin montre toi avant que je vienne te chercher. Tu fais se pisser dessus à mon gars.

- Là, regarde. Le pisseu pointait du doigt l’obscurité, une ombre s’y déplaçait. On dirait un chien.

- Au moins ça nous fera toujours à manger pour ce....

Ils hoquetèrent de surprise en voyant l’animal s’afficher à la lueur du feu. Cette fois c’était au tour du rondouillard de se lâcher dans ses braies. Devant eux un loup à l’apparence décharné se dressait devant eux. La peau nécrosé lui pendait de par et d’autre de ses flancs laissant ainsi à l’air libre sa chair morte. Ses yeux briller d’une lueur rouge éclairait et sa mâchoire était garnie de dent grande comme la longueur d’une main adulte. Malgré son apparence morte il grognait en direction des deux pillards.

- Tout.. tout.. doux.

Réussi à bégayer le grand. A peine avait il finit sa phrase que le loup bondit sur le rondouillard qui s’écarta et lança un coup de son épée en travers de la gueule de la créature. L’autre restait figé et pleurait de peur de mourir. Le coup porté à ce qui semblait être un mort vivant ne l’affecta nullement mais au lieu d’attaquer le porteur de l’épée il s’approcha de l’autre. Le rondouillard ne réfléchis qu’une seconde, attrapa un bâton dans le feu et l’agita devant son agresseur. Le loup recula doucement pour mieux bondir ensuite mais cette fois le bandit reçu la charge de front, passa sous la gueule de la monstruosité et lui planta le bâton dans la gorge ce qui embrasa l’animal. Il s’effondra juste à côté du grand peureux.

- Par tout ce qui est imaginable, on l’a échappé belle hein ?

Le rondouillard s’assis par terre et fût pris d’un rire nerveux.

- Au nom de l’empereur ce n’est pas drôle. On a failli y passer.

- Oh allez c’est bon, un peu de bagarre ça fait toujours du bien.

- Pourquoi ne pas vous battre contre quelqu’un qui sait se battre ?

Une fois de plus ils crurent que leurs cœurs allaient s’arrêter.

- Nom de.... T’es qui toi ? Comment t’es arrivé sans qu’on t’entende ?

Cette fois les bandits n’avaient plus peur et pointaient leurs armes en direction du nouvel arrivant.

- Allons, ce n’est pas comme cela que l’on déclare un duel.

- Qu’est ce que tu raconte ? Pourquoi tu nous parle de duel ?

Le personnage était en armure poli avec des motifs dorés dessus, une longue cape rouge lui pendait des épaules. Un fourreau lui pendait à la ceinture. Le pommeau sertis de gemme pourpre et la garde était en or. Il était tête nu, la lueur du feu révélant un visage d’albâtre avec des lèvres et des traits fins. Ses yeux étaient d’un noir profond et inquiétant. Il portait de longs cheveux blond lisse qui flottaient dans une brise légère. Sa taille était légèrement supérieure aux deux bandits. Il affichait un sourire malin qui faisait un peu trembler les bandits.

- T’as l’air bien sur de toi. T’es tout seul contre nous deux. En plus t’as l’air d’être riche. Un sourire s’affichait sur le visage du grand qui avait repris confiance. File nous ton épée, ton armure et ta bourse ou on t’égorge.

- Ouais c’est bien mon p’tit. L’encouragea son acolyte.

- Tu veux m’égorger ? Alors viens je ne te donnerais rien sauf si tu arrive à me tuer. Ricanais le blond.

Le grand bandit se glissa rapidement derrière lui et d’un geste sec du poigné lui trancha la gorge.

- T’aurais pas du me chercher. Il riait à gorge déployé. Son ami n’en faisait pas autant. Ben quoi ? Qu’est ce que t’as ? Allez on le dépouille.

- Pour ça faudrait qu’il soit mort voit tu.

- Quoi ? Je viens de l’égorger sous tes yeux. Il est mort t’inquiète pas.

- Explique-moi pourquoi il n’a pas saigné.

Avant qu’aucun des deux n’ait plus observé si l’homme était vraiment mort, il se releva avec une vitesse surpassant l’entendement, l’épée à la main il ouvrit d’un seul geste le ventre de son égorgeur laissant ainsi ses entrailles se répandre à même le sol.

- Alors qu’est ce que ça fait de voir ses entrailles se vider par terre ? Il souriait en voyant le visage stupéfait de sa victime qui tomba à genou et finit face contre terre. L’autre voleur vida aussi ses entrailles à ses pieds devant le spectacle de son collègue mourant à petit feu.

- Vous les humains êtes si fragile. Le blond s’approcha de l’autre vivant. Il vous suffit d’une entaille. De la pointe de son épée il griffa le visage du rondouillard qui était a genou, pétrifié par la peur et la douleur de son estomac qui se révulsait. Ton sang sera parfait bien que tu sois plutôt gras.

- Qu... Qu’est ce... que tu dis ? Il était pris de hoquet, du sang perlait de l’entaille. Il fut encore plus horrifié quand il vit l’assassin de son ami goûter du bout de la langue le sang qui était sur son épée. Il tremblait de tout son corps et sa vessie se vidait encore une fois contre sa volonté. « Qui es tu ? »

- Tu le sais très bien. Sans autre forme de procès, à la lueur du feu, l’homme se pencha sur sa victime et savourait un bon repas.

Y quelques mots que j'ai pas compris et je ne vois pas le rapport avec les épisodes précéden,ts mais ça ce révèlera surement plus tard; donc j'espère bien une suite ^

Ca n'a aucun rapport avec les post précédent parce que c'est deux personnages différent.

C'est ce que je me disait aussi

XD En fait on verra ec que ça deviens dans le futur....

ça aussi je m'en douter

J'attend un peu avant de poster la suite.

Nooooooon !!! je la veux maintenant

sALE GOSSE !